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VIDEO. "Les Sud-Africains ? Ils en auront les résultats dans quelques années, hélas..."

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La photo montrant les Sud-Africains à l'issue d'une séance de musculation avait impressionné.

La photo montrant les Sud-Africains à l’issue d’une séance de musculation avait impressionné. (©Twitter Pascal Lagorce)

Cette photo des Springboks à la musculature impressionnante, elle continue de faire parler d’elle. Est-ce normal ? Est-ce possible ? Comment ont-ils fait ? Faut-il douter des Sud-Africains ? Certains ont même fait des allusions sur des suspicions de dopage.

Lire aussi : Coupe du monde. Après les Sud-Africains bodybuildés, une photo de David Pocock fait polémique

Sur la plateau du Late Rugby Club jeudi 12 septembre, l’ancien centre international, Thomas Lombard (12 sélections), n’est pas paru si étonné que cela. Selon lui, il faut relativiser certaines choses, même si les Springboks, « ce sont des bêtes » selon ses termes :

Là, ils sortent d’une séance de musculation. Ils sont donc gonflés comme des crapauds. Et puis, quand des joueurs, déjà à des niveaux physiques élevés, passent deux mois à s’entraîner sur des cadences hyper élevées, ça peut donner ce résultat. Il faut aussi spécifier que le Sud-Africain, sur la planète rugby, il fait partie des joueurs, peut-être avec les Anglais et les Australiens, qui se préparent le plus. Physiquement, ce sont des bêtes.

Etcheto : « Il n’y a plus de gros, là »

Vincent Etcheto, ancien entraîneur de Bordeaux-Bègles et Bayonne, a estimé que c’était « le rugby moderne ». Mais que ce n’est pas cela qui fera de l’Afrique du Sud la meilleure équipe :

Lire aussi : Coupe du monde. Eben Etzebeth exclu du groupe de l’Afrique du Sud ?

C’est le rugby moderne. Il n’y a plus de gros là. Il y a des costauds, il y a des plus larges que d’autres… C’est vrai qu’ils sont très affûtés, ils sont secs, et ils sont prêts pour la Coupe du monde. Mais ce n’est pas ça qui fait les grands joueurs…

Cette prise de masse, à quoi est-elle due ? Doit-on remettre en cause l’honnêteté des Springboks ? Vincent Etcheto a pointé du doigt le passif des joueurs sud-africains, et notamment la génération championne du monde en 1995 (quatre joueurs sont décédés, NDLR). Mais pour lui, seul le temps pourra donner des indications :

Ça, il faudra voir à moyen ou long terme. On voit la génération de Chester Williams, est-ce lié au dopage ? On ne le sait pas, mais on peut le supposer. Cela peut être inquiétant. Eux, ils en auront les résultats dans quelques années, hélas… »


Essonne. Elle contracte le botulisme et finit paralysée après avoir consommé une soupe périmée

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Les restaurateurs de Cornouaille vont concocter des soupes au profit d'Habitat et humanisme.

Une femme originaire de l’Essonne a contracté le botulisme après avoir avalé une soupe (©(©Illustration Pixabay ponce_photography))

Quasiment paralysée. Voici le terrible diagnostic posé par les médecin de la Pitié-Salpêtrière à Paris à propos d’une femme originaire de l’Essonne. Comme le racontent nos confrères du Parisien 91, la santé de cette femme s’est considérablement dégradée en quelques jours. Elle a ainsi développé une maladie rare : le botulisme. 

Une soupe périmée depuis 3 semaines

Comment en est-elle arrivée là ? L’Essonnienne aurait avalé une soupe périmée depuis plus de trois semaines. Quelques jours après l’avoir consommé, cette femme a fait deux malaises, à une semaine et demie d’intervalle, entre fin août et début septembre. Après avoir cru à un accident vasculaire cérébral, les médecins ont finalement diagnostiqué son mal début septembre.

« La toxine la plus puissante du monde végétal »

Le botulisme est une maladie très rare. Grave, parfois fatale, cette maladie se développe à cause de l’absorption de toxines présentes dans des aliments contaminés. La toxine botulique est « la plus puissante du monde végétal, microbien ou encore animal. Elle est plus puissante que le cyanure », indique la docteure Christelle Mazuet, responsable du centre national de référence Bactéries anaérobies et botulisme de l’Institut Pasteur, au Parisien.

Pire encore, la toxine botulique, produite par des bactéries, est d’autant plus dangereuse qu’elle ne modifie ni le goût, ni l’odeur des aliments. Afin d’éviter son apparition, il est conseillé de respecter les dates limites de consommation, ne pas rompre la chaîne du froid et bien régler son réfrigérateur à 4 °C. 

2 cas en Ile-de-France en 2018

Les chances de rétablissement de la femme originaire de l’Essonne reste mince. Les dégâts seraient quasi-irréversible. 

Cette maladie reste assez rare. Sur l’année 2018, seuls deux cas ont été répertoriés à l’échelle de l’Ile-de-France.

Aventure. La Loire en radeau pour quatre jeunes paysagistes

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Les quatre jeunes paysagistes ont voyagé sur la Loire et ont ramené leurs dessins réalisés pendant un mois, entre Blois et Paimbœuf.

Les quatre jeunes paysagistes ont voyagé sur la Loire et ont ramené leurs dessins réalisés pendant un mois, entre Blois et Paimbœuf.

Paimbœuf. Louis Hétier, Jean-Alfredo Albert, Clémence Mathieu et Jonas Gouya ont posé leurs sacs étanches et leurs caisses sur la cale de Paimbœuf, juste en dessous du phare. Ces jeunes diplômés de l’école nationale du paysage à Versailles viennent de boucler une descente de la Loire en radeau.

Partis le 13 août de Blois, d’où est originaire la jeune femme, ces quatre concepteurs-paysagistes sont arrivés samedi 7 septembre, dans le petit port paimblotin. La navigation sur un radeau fabriqué maison, avec des bambous et des bidons s’est faite sans encombre au fil de l’eau. Sans moteur ni voile, l’embarcation suivait son propre rythme…

En immersion dans le paysage

Ce radeau était notre atelier flottant. Nous avions assez de place pour quatre pour pouvoir dessiner les paysages que nous traversions. C’était l’occasion pour nous d’avoir une vraie immersion dans les lieux,souligne Clémence Mathieu. Notre métier est de lire les paysages. Ce voyage était une façon de voir comment réinterpréter le paysage de la Loire avec une méthode plus immersive. »

Le parcours avait été pensé en amont. Chaque soir, le radeau s’arrêtait sur les rives mais quatre haltes de travail étaient prévues : à Rochecorbon, près de Tours, à La Bohalle, à Saumur, à Saint-Florent Le Vieil et à Paimbœuf. Des lieux qui ne doivent rien au hasard.

Ce sont des sites qui ont des identités différentes où nous pouvions travailler sur des thématiques, l’habitat troglodyte, les mythes, les paysages plus canalisés et l’horizon, avec l’embouchure de la Loire. Mais on s’est aperçu que les mythes par exemple étaient aussi présents du côté de Saint-Florent le Vieil », ajoute Jean-Alfredo.

Une aventure près de chez soi

Ce qu’ils retiennent en tout cas de leur périple, c’est que, même en 2019, il est encore possible de partir à l’aventure en France, sans aller bien loin. Mais aussi que la Loire n’est pas simple à naviguer :

Nous avons joué sur notre installation flottante, en la poussant lorsque l’eau n’était plus suffisante. Il y a eu quelques passages sous les ponts, un peu compliqués en raison de la sécheresse. Et qu’il est possible de ralentir, de se laisser aller au rythme d’un fleuve, pendant trente jours. »

Des dessins pour une expo

De leur périple, on retiendra également la production de dessins sur les paysages traversés. Des dessins que les quatre concepteurs-paysagistes ont exposé sur la cale de Paimbœuf, comme autant de témoignages de ce qu’est la Loire sur 300 km.

Il s’agissait là de mettre sur le papier nos impressions sensibles de ce que nous voyions, en termes de matériaux, de reflets mais aussi de rendre compte de scènes de vie et de laisser aller notre imaginaire. »

Ces dessins mais aussi films et écrits pourront faire l’objet d’un recueil ou d’une expo. Les quatre voyageurs paysagistes sont à la recherche d’un porteur de projet.

Le récit de leur aventure ici.

 

Contact : Louis Hétier au 06 09 79 20 86.

Frelon asiatique : la riposte s'organise à Tourouvre

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Maxime Letissier montre à la population un nid de frelon asiatique.

Maxime Letissier montre à la population un nid de frelon asiatique. (©Le Perche)

La réunion de présentation du plan de lutte contre la prolifération du frelon asiatique, organisée fin août à la salle Georges-Brassens de Tourouvre (Orne), a attiré une trentaine de personnes.

Maxime Letissier, spécialiste du frelon asiatique au sein du Groupement de Défense Sanitaire de l’Orne (GDS Orne), a tenu à faire tout d’abord une longue présentation très pédagogique sur ce frelon. Arrivé en France depuis la province de Yunnan en Chine il y a une quinzaine d’années, probablement par Bordeaux, cet insecte a un cycle de vie d’une année avec un rythme très régulier de croissance, ce qui permet de le distinguer facilement. Tout commence par un nid appelé primaire, de la taille d’une balle de ping-pong, fabriqué entre février et mail et qui est très souvent dans des endroits abrités (cabanes d’enfants, niches abandonnées, tas de bois).

Quant au nid dit secondaire, qui accueillera la colonie, on peut le trouver dans des haies ou des arbres en hauteur.

Aides substantielles

Grâce au partenariat entre le conseil départemental et la commune de Tourouvre-au-Perche, une prise en charge de la destruction du nid est mise en place à hauteur de 66 % (avec un plafond à 100 €), équitablement réparti 33 % chacun, entre le Département et la Commune.

Une seule adresse : www.frelonasiatique61.fr ou le 02 33 80 38 22. Remplir le formulaire en ligne ne prend que quelques minutes et permettra d’établir un dossier solide avec la liste des entreprises habilitées à intervenir dans la région.

Des questions et inquiétudes

La population présente a pu poser quelques questions suite à l’exposé de Maxime Letissier. Au-delà de l’impact réel sur les ruches, beaucoup ont soulevé la problématique du piégeage, souvent une traditionnelle bouteille coupée remplie de sucre et de cidre. Très clairement, ce dispositif n’a pas d’impact sur le frelon asiatique et tend plutôt à tuer de nombreux autres insectes, il est donc clairement déconseillé.

Lire aussi : Bière, vin, sirop : les pièges à frelons asiatiques ne sont pas une bonne solution

Il faut savoir que sur une année, un nid peut produire jusqu’à 15 000 frelons.

De même il a été rappelé que la curiosité peut avoir de graves conséquences. Si un nid est repéré, seule la prise de contact rapide avec le Groupement de défense sanitaire de l’Orne est efficace et vous accompagnera dans les démarches à faire.

Trois personnes sont décédées en Normandie en 2018 et 21 signalements de piqûre ont déjà été faits dans l’Orne en 2019.

 

Pratique
En cas de détection ou de suspicion d’un nid, n’intervenez pas seul et connectez sur la plateforme dédiée : www.frelonasiatique61.fr ou contactez le 02 33 80 38 22

Interview. Cédric Klapisch : « J’ai le même rapport avec les réseaux sociaux qu’avec l’alcool »

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Cédric Klapisch à Evreux.

Cédric Klapisch à Evreux. (©D.CH.)

Le nouveau Klapisch est sorti mercredi sur les écrans, Deux Moi, ou l’histoire de deux ultramodernes solitudes parisiennes. Cédric Klapisch était à Évreux à la fin du mois d’août pour présenter son film en avant-première dans le cadre du festival 6néma, organisé par le cinéma Pathé. À cette occasion, il nous avait accordé un long entretien. Extraits.

Durant le festival 6néma, Yvan Attal (Mon chien stupide) et Nicolas Pariser (Alice et le Maire) nous ont dit leur lassitude de filmer Paris. Vous, c’est tout le contraire.
Cédric Klapisch : Oui, parce que j’ai beaucoup filmé ailleurs. Ça faisait longtemps que je n’avais pas filmé ma ville, vraiment. C’est un retour, j’en avais besoin. Comme j’ai ressenti, à un moment, de partir. Avec toute la suite de films de l’Auberge espagnole, il y avait une volonté de voyager. Y compris avec Ce qui noue lie, en Bourgogne, où je me suis rendu compte que je n’avais jamais filmé la campagne.
Pourquoi ce sujet assez sombre ?
On est dans une époque de feel good movie, où les réseaux sociaux sont tellement tournés vers la mise en scène du bonheur, que je me disais : il faut parler des moments où ça ne va pas bien. Pour moi, le vrai optimisme, c’est de dire : on peut parler des moments où ça ne va pas bien pour dire comment on fait pour s’en sortir. Et pour être optimiste et positif avec ça. C’est le but du film. Ne pas avoir peur de parler de gens qui vont mal pour dire comment ils s’en sortent. Et je dis bêtement que parler à des gens, c’est plus efficace. Je ne sais pas pourquoi c’est tabou d’aller voir un psy.
C’est peut-être admettre qu’on ne va pas bien, c’est afficher une faiblesse.
Oui, c’est ça. Et comme l’époque veut que tout le monde aille bien. Ou, en tout cas, on a l’impression que tout le monde va bien parce que sur Instagram on ne voit que des gens heureux qui mettent en scène leur bonheur. Je crois que ça accentue le fait qu’il faut aller bien. C’est difficile de se sentir mal. Les gens qui sont en dépression au boulot, qui font un burn-out, qui travaillent trop, qui stressent, les chagrins d’amour, les deuils, il y a beaucoup de façon de ne pas aller bien.
Ça vous est arrivé ?
J’ai eu une mini dépression quand j’avais 20 ans. C’était lié à mes études, un truc que j’avais mal supporté. Je ne suis pas allé voir quelqu’un, mais pendant presque deux mois je n’arrivais plus à dormir. J’avais un vrai trouble du sommeil. D’un coup. Ça m’a fait flipper. J’ai fait un rêve et j’en ai parlé à quelqu’un qui m’a expliqué ce que cela voulait dire. Le lendemain, je dormais. Ça m’avait vraiment frappé, c’était vraiment le pouvoir de la parole. Quand j’ai eu 30 ans, c’était lié à une séparation. Je suis allé voir quelqu’un. Six mois. J’ai vu comment je n’allais pas bien et comment cette personne m’a aidé à aller mieux. Ça a été quelqu’un d’important dans mon développement personnel.
Votre mère, dans la réalité, est psy. Et, bizarrement, lorsque vous apparaissez à l’écran vous dites : ma femme est psy.
(Rires) Oui, ce n’est pas la même chose.
Il y aurait peut-être un truc à creuser ?
C’est vrai (rire). Je n’y avais pas pensé. Gros truc psychanalytique, oui, oui, vous devez avoir raison (rire). Oui, d’autant plus que c’est une improvisation, donc c’est totalement inconscient.
Voilà. C’est 50 €… En parlant de ça, on ne voit jamais l’argent.
Je l’avais filmé, mais je ne l’ai pas monté. Je pense que tout le monde sait qu’on paie.
L’histoire ne joue pas sur le suspense, on se doute bien qu’ils vont finir par se rencontrer, la seule question, c’est quand. À quel moment, faites-vous ce choix.
C’est l’idée de départ. Même au début, je me suis demandé : est-ce que c’est possible de raconter une histoire comme ça ? Pendant plusieurs semaines, je me suis dit : non, on laisse tomber. Quand on a commencé à écrire avec mon scénariste, Santiago Amigorena, tous les jours je me disais : c’est impossible, on va dans le mur. Après quelques semaines de travail, je me suis dit : si, c’est possible. J’y ai cru. Là, je sais que c’est possible.
Il y a beaucoup de polars qui fonctionnent comme ça, on connaît le criminel dès le début. Ça a fait le succès de Columbo.
Oui, mais pas sur des histoires d’amour. Je ne connais pas d’exemples.
Vous reprenez les mêmes comédiens [François Civil et Ana Girardot] que ceux de votre film précédent.
C’est compliqué de trouver des acteurs avec lesquels on est en phase. Avec Ce qui nous lie, il y avait une espèce de nouveau souffle par rapport à tous les gens avec qui j’avais travaillé avant. J’avais très envie de retravailler avec eux.
Il n’y avait pas un risque que ce soit perçu comme une suite alors que ce n’est pas le cas.
Non. Je me souviens, dans les premiers films de Bertrand Blier, j’ai toujours été fan de Bertrand Blier, il a commencé à travailler souvent avec Dewaere et Depardieu. Il utilisait ce couple-là. Et même Miou Miou. De film en film. Il fallait s’habituer au fait qu’ils jouaient des personnages différents. Au début, ça me frappait, puis on s’habitue. Resnais l’a fait très souvent avec Sabine Azéma, Pierre Arditi. Il y a beaucoup de gens qui ont une espèce de troupe.
Vous êtes assez critique des réseaux sociaux, mais vous êtes un adepte d’Instagram. Comment vous gérez ça ?
Je ne suis pas si critique que ça. En fait, j’ai le même rapport avec les réseaux sociaux qu’avec l’alcool. J’adore le vin. Après, j’ai un problème avec l’alcoolisme. Les gens alcooliques sont relous. C’est atroce. C’est ça le problème des réseaux sociaux, c’est l’addiction. Sinon, Facebook, Instagram, ce sont des outils géniaux. Après, on voit la perversité de la chose. Quand il y a eu les révolutions arabes, je me suis dit : wow ! C’est super. Quand il y a des dictatures, il y a des gens qui se parlent entre eux, ils arrivent à fabriquer une démocratie digitale et, finalement, ils arrivent à renverser un pouvoir. On a vu que c’était plus compliqué que ça, en réalité. Ça fabrique les fakes news, quelque chose qui est antidémocratique, ça véhicule des idées pas forcément très positives, les gens déversent leur bile. Il y a les deux, des choses très positives et des choses dangereuses.
Et sur l’exposition de l’intimité, lorsque vous êtes en vacances ou en voyage, c’est un peu de votre intimité que vous dévoilez. Comme dans une des scènes du film, du reste.
On voit les endroits où je vais.
Oui, vous êtes allé à Arles, récemment…
Je ne montre pas ma vie privée, mes enfants.
On voit ce que vous voyez, vos déplacements géographiques, c’est déjà beaucoup. Pour un inspecteur des impôts, par exemple, c’est énorme.
Bien sûr. J’ai compris déjà depuis longtemps que je ne pouvais rien cacher (rire). Et puis, il y a ce truc-là quand on est devenu une sorte de personnalité publique, on est obligé d’assumer ce côté public. C’est vrai, ce qui me gêne, c’est le côté Kim Kardashian, le fait d’assister à la vie intime de Kim Kardashian, dont tout le monde se fout.
Vous ne faites pas de selfie.
Oui, c’est la continuation de mon métier. La photo et le cinéma, c’est très proche. Quand je prends des photos, j’essaie de réfléchir avec ça. Et faire réfléchir les autres. C’est vrai que j’étais en vacances et en Grèce et en Turquie. Eh bien, j’ai montré la différence entre la Grèce et la Turquie avec trois photos. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est ça qui m’intéresse.
Est-ce que votre manière de filmer a changé avec les smartphones, internet ?
Oui, pour reprendre la question, je suis positif avec les réseaux sociaux, parce que ça m’aide énormément dans mon travail. Il y a beaucoup de gens que j’ai rencontrés comme ça. Parce qu’on remarque des gens, des danseurs, des musiciens, des acteurs. C’est un exemple que j’aime bien citer, pour Ce qui nous lie, j’ai tourné sur un an, j’ai eu le temps de réécrire le scénario pendant l’année. Il y a un vigneron qui m’a contacté par Instagram, en me disant : tiens, vous êtes dans mes vignes, aujourd’hui. J’ai commencé à le suivre, j’ai vu sa vie familiale, intime et j’ai vu sa photo où il apprenait à conduire le tracteur à sa fille. C’est ce qui m’a donné l’idée, quand Ana Girardot est petite et qu’elle conduit le tracteur avec son père. C’est issu d’une photo Instagram. J’ai eu l’idée parce que j’ai vu le quotidien d’un vigneron sinon je n’aurais pas eu l’idée.
On rencontre beaucoup de réalisateurs qui s’inquiètent pour leur « film suivant ». Vous semblez avoir réglé cette préoccupation.
C’est mon 13e film, et il y a vraiment la problématique quand on a mon âge [58 ans] et qu’on a fait 13 films de se renouveler et de ne pas faire le film de plus. Je suis très sensible à ça parce que je vois parfois certains collègues très doués qui font des films… je me dis : wow ! Je vois la maladie du film où on se dit… Il n’a plus rien à dire. Moi, je me prends la tête pour essayer d’avoir des idées, de ne pas faire les mêmes films.
Avoir les idées, c’est une chose, il faut pouvoir les produire.
Ce qui me sauve, c’est que mes derniers films sont plutôt moins chers qu’avant. Du coup, on me laisse assez libre. Je vois que beaucoup sont dans la surenchère en rajoutant deux millions à chaque long-métrage ; moi, j’ai plutôt enlevé deux millions à chaque long-métrage (rire). Ça me sauve, parce que c’est plus facile de monter un film.
Vous avez trouvé une espèce d’économie qui vous permet de faire le film suivant.
Après, je n’ai pas envie non plus que ce soit un système, je sais qu’il faut alterner. La fameuse alternance de Truffaut. Il disait : je fais un film pour moi, un film pour les autres. Il est d’ailleurs étonnant de voir quel film il considérait pour lui. C’était celui qui avait le plus de succès public. Et les films pour les autres, parfois, ne marchaient pas.
Quels sont les films que vous avez faits pour vous ?
Je n’ai jamais réfléchi, comme Truffaut. Ou alors si, mais je me suis trompé direct ! Quand j’ai fait Ni pour ni contre qui était un film tourné vers le public ; en parallèle, je me suis dit que j’avais envie de faire un film plus « bizarre », l’Auberge espagnole. Eh bien, l’Auberge espagnole a marché beaucoup, alors que Ni pour ni contre, c’est mon pire résultat… Je pensais vraiment l’inverse. J’ai vu à quel point je me plantais sur ce qu’on imagine que le public va aimer. J’ai très vite compris que je ne pouvais pas réfléchir comme ça. Donc, je n’ai jamais fait un film en me disant : Ça, ça va plaire au public.

Verneuil-sur-Avre. Journée citoyenne de ramassage de déchets ce samedi 14 septembre 2019

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À chaque fois, plusieurs sacs de 100 litres sont bien remplis (photo d'archives 2017).

À chaque fois, plusieurs sacs de 100 litres sont bien remplis (photo d’archives 2017). (©La Dépêche de Verneuil-sur-Avre)

Retour de la journée citoyenne de ramassage des déchets à Verneuil-sur-Avre (Eure), ce samedi 14 septembre 2019, après des mois de pause.

« Si les gens étaient plus civiques, cette action de collecte n’aurait pas lieu d’être, mais, malheureusement, il y a encore trop de mégots, de canettes, de papiers et autres déchets jetés par terre, surtout autour du centre-ville de Verneuil », regrette Frédéric Rey, adjoint. Un détail, toute personne vue par le maire ou un adjoint en train de jeter quelque chose par terre risque une amende de 68 €.

Matériel fourni

Ce samedi 14 septembre 2019, le nouveau rendez-vous de ramassage citoyen est fixé à 14 h 00 devant la salle des fêtes. « Venez en famille, on vous fournira sacs, pinces et gants », propose Jean-Jacques Laveille, conseiller municipal. « Puis mettez un gilet de couleur repérable », conseille-t-il.

Une fois équipés, les volontaires partiront nettoyer les fossés et les promenades, avant de faire éventuellement quelques rues du centre-ville. « Si nous sommes suffisamment nombreux, un deuxième groupe pourrait aller nettoyer Le quartier du Poëlay », espère Jean-Jacques Laveille.

Retour prévu à la salle des fêtes vers 17 h 00. « On pourrait bien avoir encore sept ou huit sacs de 100 litres bien remplis », craint Frédéric Rey en se basant sur les actions précédentes.

Val-d'Oise : une espèce rare de chauve-souris découverte dans le Vexin

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Nicolas Galand, bénévole à Azimut 230, est allé observer ces petits rhinolophes (en médaillon et ici accrochés au plafond) dans une maison abandonnée du Vexin.

Nicolas Galand, bénévole à Azimut 230, est allé observer ces petits rhinolophes (ici accrochés au plafond) dans une maison abandonnée du Vexin.

Une colonie de petits rhinolophes, espèce de chauve-souris quasi disparue de la région, a été découverte début août dans le Vexin, aux confins des Yvelines et du Val-d’Oise. Suite à un article du Courrier de Mantes, un membre de l’association Azimut 230, qui lutte pour la sauvegarde de ces mammifères, a cru reconnaître sur la photo quelques spécimens de cette espèce.

Une vingtaine de spécimens observés

Pour en avoir le cœur net, elle a dépêché sur place l’un de ses bénévoles. Nicolas Galand, botaniste de formation et ancien salarié du Parc naturel régional (PNR) du Vexin, est allé explorer ce lieu : une bicoque abandonnée, située en pleine forêt dans la réserve des Coteaux de la Seine près de Vétheuil (95).

Son détecteur à ultrasons – les ondes émises par l’animal – a oscillé avant même de pénétrer les lieux, confirmant d’emblée la trouvaille. Il s’est approché de plus près pour procéder à un comptage précis. « J’utilise cet appareil car ce sont des animaux très vulnérables. Autant savoir s’il y en a avant d’entrer, pour être le plus discret possible et ne pas les affoler. Cela risquerait de disloquer la colonie », indique cet homme de 41 ans, passionné de chauves-souris depuis près de 20 ans.

Un spécimen de petit rhinolophe.

Un spécimen de petit rhinolophe. (©Nicolas Galand)

Il a pu dénombrer une vingtaine de petits rhinolophes. Des boules de poils de quelques centimètres de long pendantes au plafond dans plusieurs recoins du bâtiment. Il est fort probable qu’elles se soient installées là au printemps dernier pour se reproduire et mettre bas, avant d’aller passer l’hiver à venir dans une cavité, bien au chaud.

« En grec, son nom signifie nez en forme de fer à cheval, explique ce spécialiste. Au repos, elle s’enveloppe complètement dans ses ailes et s’accroche tête en bas. Elle ne peut nicher qu’en intérieur, dans les combles, les grottes… »

Des régulateurs d’insectes

Cette découverte a de quoi redonner de l’espoir aux amateurs de chiroptère, le nom savant de la chauve-souris. « C’est un bio-indicateur des milieux avoisinants, précise Quentin Rouy, secrétaire général d’Azimut 230. Cette espèce-ci (insectivore) à besoin de terrains de chasse de qualité pour s’installer quelque part. Donc c’est plutôt bon signe pour l’environnement. »

Mais le petit rhinolophe reste très marginal dans le secteur. L’association ne recense pas plus de cinq colonies dans le Val-d’Oise. L’espèce aurait même disparu à « 95 % » de l’Île-de-France, selon Nicolas Galand. « On en trouvait jusqu’aux Pays-Bas dans les années 70, poursuit-il. À cause des pesticides, son aire de répartition s’est peu à peu restreinte. En Europe, elle ne s’étend désormais guère plus au nord que la Picardie. Elle a régressé de près de 500 km en 40 ans. C’est considérable ! »

Un périmètre de sauvegarde Natura 2000, dédié aux chauves-souris, a été déployé au sein du PNR, à Chars, Follainville-Dennemont, Saint-Cyr-en-Arthies et Saint-Gervais-du-Vexin. Il permet de mettre en place des mesures de protection des espaces d’hibernation. « Cela peut-être la fermeture de cavités ou l’aménagement de chiroptières, un dispositif leur donnant accès aux combles », ajoute Camille Gaudin, chargée de mission au PNR qui se réjouit de la découverte réalisée par l’association : « C’est positif. Cela veut dire qu’il reste des colonies et que cette espèce régulatrice d’insectes est en meilleure santé qu’auparavant. »

Dans le Vexin, on recense dix-huit des vingt et une espèces de chauves-souris présentes en Île-de-France. Le périmètre Natura 2000 compte une vingtaine de colonies, avec des effectifs allant de cinq à 200 spécimens.

Seine-et-Marne. Un camion endommage les barrières du passage à niveau de Roissy-en-Brie

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La femme était séquestrée dans un appartement, à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise).

Un camion aurait endommagé les barrières du passage à niveau, à Roissy-en-Brie. (©La Gazette du Val-d’Oise)

L’absence de grève sur le RER E ce vendredi 13 septembre, le jour d’un mouvement social de grande ampleur dans les transports franciliens, n’a pas suffi aux usagers pour passer une journée sans gêne. En effet, un incident s’est produit au passage à niveau de Roissy-en-Brie vers 8h30.

D’après la SNCF, un camion a endommagé les barrières. Du coup, le trafic était au ralenti toute la matinée entre Tournan-en-Brie et Haussmann Saint-Lazare.

La circulation des trains n’a repris un rythme normal qu’après l’heure du midi.


Elections municipales à Dourdain : Gérard Ory ne se représentera pas

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Dourdain, le maire sortant ne se représentera pas

« Je ne repartirai pas, il est temps darrêter », annonce Gérard Ory à propos de l’éventualité d’une candidature en tant que tête de liste, aux élections municipales.

Lire aussi : Janzé : Jonathan Houillot est candidat à la mairie

Trois mandats de maire

Elu depuis 36 ans, d’abord en tant que conseiller de 1983 jusqu’en 2001 puis maire pour trois mandats consécutifs, Gérard Ory, 75 ans, ne briguera pas de nouveau mandat.

A ce jour, il ne donne pas d’informations sur la personne de son équipe qui pourrait lui succéder.

Lire aussi : Vitré : Hervé Utard quitte le conseil municipal et le conseil communautaire

Jura. La 6e édition du salon des métiers d’art a lieu du 13 au 15 septembre à Morez

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Cette année parmi les nouveautés, il sera possible de rencontrer Thierry Bandendrissche, plumiste à Limoges qui réalise de superbes bijoux… en plumes !

Cette année parmi les nouveautés, il sera possible de rencontrer Thierry Bandendrissche, plumiste à Limoges qui réalise de superbes bijoux… en plumes ! (©Thierry Bandendrissche)

La ville de Morez, labellisée « Ville et Métiers d’art« , accueille jusqu’au 15 septembre 2019, la 6e édition du Salon des métiers, qui permet à chaque rendez-vous de découvrir de formidables artistes qui transforment avec magie des matériaux très divers. Initié à Morez en 2006, la dernière édition avait eu lieu en 2016.

L’objectif est de se retrouver désormais tous les trois ans, avec le souci à chaque fois d’accueillir des artisans d’art différents.

Durant trois jours 35 artisans venus de toute la France seront réunis pour présenter leurs créations.

Parmi les habitués du rendez-vous, le public sera ravi de retrouver le talent des élèves du lycée des Arts du bois de Moirans-en-Montagne et de découvrir celui des élèves du lycée Camille Claudel, spécialiste de la gravure sur pierre à Remiremont (88).

Et puis au fil des stands, vous pourrez notamment rencontrer Chantal Eustache (gravure sur verre) de Caudry (59), Thierry Vanderdrissch (plumassier) à Limoges (87), Juliette Flambard (créatrice de robes de mariée et de costumes de scène) à Dole, Jean-Philippe Bemiste (artisan du cuir) à Huriel (03)…

Combats de cinéma

Cette 6e édition sera marquée par la présente de costumiers du cinéma et notamment d’Armédia de Morez, spécialiste du spectacle historique et par un magnifique spectacle samedi 14 à 21 h (lire ci-dessus).

La journée du vendredi 13 septembre 2019 réservée aux scolaires.

Durant deux jours ensuite, l’accès sera gratuit de 10 h à 19 h le samedi et de 10 h à 18 h le dimanche.

Et il sera possible de découvrir des combats de cinéma, sous forme d’animations flash plusieurs fois par jour tout le week-end.

En complément, des ateliers de découverte seront proposés avec une participation de 5 €.

Samedi 14 septembre 2019. De 10 h 30 à 12 h : atelier émail avec Elsa Monturier. De 10 h 30 à 11 h 15 : atelier vitrail avec Cyril Micol. De 14 h à 15 h 30 : atelier poterie et atelier bijoux. De 15 h 30 à 17 h : atelier poterie.

Dimanche 15 septembre 2019. De 10 h 30 à 12 h : atelier émail avec Genevière Beaurain. De 10 h 30 à 11 h 15 : atelier vitrail. De 14 h à 15 h 30 : atelier bijoux. Inscription en mairie au 03 84 33 10 11 ou sur place.

Près de Saint-Valery-sur-Somme : Rendez-vous à la fête de l'agneau ce samedi 14 septembre 2019

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Roland Moitrel, président de l'association AOP prés-salés de la baie de Somme s'occupe des agneaux en baie de Somme.

Roland Moitrel, président de l’association AOP prés-salés de la baie de Somme s’occupe des agneaux en baie de Somme. (©L’Éclaireur du Vimeu)

L’agneau d’Appellation d’Origine Protégée (AOP) prés-salés de la baie de Somme va être star de la journée du samedi 14 septembre 2019.

En effet, l’association AOP prés-salés de la baie de Somme organise pour la troisième année consécutive près de Saint-Valery-sur-Somme la fête de l’agneau.

Le rendez-vous est donné à l’ancien Point P, situé à Pinchefalise (Somme), dès 10 h pour découvrir le savoir-faire des éleveurs et la viande d’agneau AOP.

L’agneau AOP sous toutes ses formes

La journée démarre avec la transhumance des ovins à 10 h. Cette sortie guidée par un éleveur en baie de Somme va démarrer du lieu de l’événement pour se rendre en direction du phare de Saint-Valery-sur-Somme.

Puis, rendez-vous à 11 h 30 pour une démonstration de chiens de troupeau. Pas de panique pour ceux qui l’auraient raté, une autre est prévue à 15 h.

À 12 h, l’association invite les intéressés à un repas du terroir où ils pourront goûter une déclinaison de l’agneau AOP.

Au menu : terrine d’agneau, viande d’agneau grillée, tomme de brebis et grillé aux pommes.

Malheureusement, le nombre de places était limité. Il n’est plus possible de s’inscrire au repas, comme l’indique ce post Facebook de l’association organisatrice : 

L’événement approche à grand pas ! ! Vous avez été nombreux à vous inscrire pour le repas, nous en sommes ravis et nous…

Publiée par Agneaux AOP Prés-Salés de la Baie de Somme sur Mercredi 11 septembre 2019

Un concours photos

En plus de pouvoir profiter du repas, les convives pourront prendre part au vote de la plus belle photo des moutons de prés-salés de la baie de Somme.

En effet, grande première cette année, l’association a organisé un concours photo.

Du 11 juillet au 15 août 2019, les photographes amateurs ou confirmés ont pu envoyer leurs photos de moutons.

Le 19 août 2019 un jury, composé d’éleveurs, de représentants de la mairie et de photographes a ensuite choisi les dix clichés qui seront départagés lors de l’événement par le public participant au repas.

Il est possible de retrouver les photos sur www.agneaubaiedesomme.com

Le terroir à l’honneur

Les visiteurs pourront découvrir toute la journée les produits d’une vingtaine d’exposants : confitures, miel, légumes… Le rendez-vous idéal pour trouver des produits locaux.

Des béliers seront aussi exposés et mis en vente. Un concert sera donné par le groupe Just’In dès 13 h 30.

Et, pour continuer dans les démonstrations, les visiteurs pourront découvrir la tonte de moutons et des échographies sur brebis.

Lire aussi : À la découverte des agneaux de prés-salés de la Baie de Somme

 

Fête de l’agneau, à l’ancien Point P, situé à Pinchefalise, près du pont du canal, face au 1, rue du canal à Boismont. Entrée libre. Réservation pour le midi auprès de Roland Moitrel : 06 81 21 75 69 et rolandmoitrel@gmail.com

Ce week-end à Foucarmont, les Ch’tis sont les invités de la fête patronale

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La confrérie carnavalesque roubaisienne sera présente. Elle est constituée d’une quarantaine de carnavaleux accompagnés du géant Pierre de Roubaix.

La confrérie carnavalesque roubaisienne sera présente. Elle est constituée d’une quarantaine de carnavaleux accompagnés du géant Pierre de Roubaix. (©Mairie de Foucarmont)

Cette année, à Foucarmont (Seine-Maritime), les Ch’tis sont les invités de la fête patronale.

Les personnes et enfants costumés dans le thème, seront les bienvenus : costumes carnavalesques colorés en tout genre feront l’affaire. Les vitrines et magasins du bourg, décorés pour la circonstance, ajouteront à l’ambiance.
Durant ces trois jours, la fête foraine battra son plein sur la place des Cateliers proposant attractions foraines et manèges pour tous les âges.

Top départ samedi

Le coup d’envoi sera donné samedi 14 septembre 2019. L’union commerciale organise une braderie, brocante et foire à tout en centre-bourg. En fin d’après-midi, un apéritif typique, de la région des Ch’tis sera offert par la municipalité aux forains et à la population. Une animation à l’accordéon sera assurée par Jean-Paul Bridoux à la salle Lucien Boudin, de 18 h à 20 h.

Des oranges pour les spectateurs

Dimanche 15 septembre, la traditionnelle parade égayera les rues principales du bourg à partir de 15 h. Les Pères Lajoie, groupe carnavalesque du Ternois, danseurs et musiciens sur le thème des meuniers avec âne et char, la confrérie carnavalesque roubaisienne constituée d’une quarantaine de carnavaleux accompagnés du géant Pierre de Roubaix seront présents.

Sans oublier les incontournables Gilles de Tourcoing avec leurs musiciens, chapeaux à plumes et leur panier d’oranges qu’ils distribueront aux spectateurs.
Têt’ à Fetti, groupe avec ses grosses têtes et son canon à confettis entraînera le public dans de folles batailles pleines de bonne humeur durant cet après-midi.

Les majorettes Les Etincelles et la batterie-fanfare des sapeurs-pompiers locaux s’intercaleront dans ce joyeux cortège. A cela, il faudra ajouter la présence de chars qui viendront compléter le défilé.
Cette parade se clôturera par une aubade, rue douce, durant laquelle chaque groupe pourra être applaudi une dernière fois.

Lundi 16 septembre, le traditionnel concours de pétanque organisé par le club de Foucarmont se déroulera au stade, à partir de 13 h 30.
Prêts à faire la fête ?

JMS à Baud. Le marché de la piscine en plein boum

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Pour Jean-Michel Samson et son fils Tanguy, le travail ne manque. Le marché de la piscine en Bretagne croit sans cesse.

Pour Jean-Michel Samson et son fils Tanguy, le travail ne manque. Le marché de la piscine en Bretagne croit sans cesse.

Concepteur de piscines depuis 2005 à Baud, Jean-Michel Samson a vécu un été chargé. Très chargé.

La demande a été très forte cet été. On a atteint le summum. Bien sûr parce que nous avons eu de fortes chaleurs. Mais pas que… »

Et de poursuivre : « la piscine se démocratise. Même si elle reste encore un produit de luxe, les consommateurs sont aujourd’hui capables de se donner les moyens d’en acquérir une ». Leurs besoins de loisirs et de bien-être n’étant jamais rassasiés.

Et pourtant, à 40 000€ la piscine standard (30 à 40 m2), il faut quand même avoir les reins solides financièrement parlant.

Il faut y mettre le prix

Reste que la forte présence de maisons secondaires sur le littoral dans le sud du département est un bon filon pour ce concepteur qui a désormais pignon sur rue, là-bas. Puisque depuis 2012, il a également ouvert une antenne à Auray, une boutique dédiée au bien-être (Spa, jacuzzi, hammam…). 

« Le parc est aussi vieillissant. Comme nous concevons nos piscines de A à Z, nous pouvons répondre aux nouveaux besoins de notre clientèle ».

On parle ainsi domotique (piscine connectée) ou encore énergie solaire (pour chauffer les bassins).

Il ne faut pas aussi oublier l’entretien d’un tel équipement. Encore un coût supplémentaire. « Nous proposons des contrats de maintenance comprenant l’entretien régulier et la mise en hivernage ».

Spas, saunas, hammams…

Si neuf piscines sur dix sont construites en extérieur, c’est bien parce qu’en Bretagne, l’ensoleillement va croissant. « Quand il fait trop chaud, on a besoin de fraîcheur ». La notion de réchauffement climatique étant aussi un élément déclencheur dans l’acte d’achat.

Mais le marché s’est aussi élargi vers de nouveaux équipements, mieux adaptés aux nouvelles règles d’urbanisme.

Il faut de la place pour construire une piscine. Or dans les villes, les surfaces constructibles se réduisent et lorsque l’on a un terrain de 400 m2, on n’a pas forcément la place pour un tel équipement ».

Spas, Jacuzzis (qui est une marque), saunas et autres hammams fleurissent désormais chez les fabricants. « Financièrement, ils sont aussi plus accessibles ». À hauteur de 7 000€ pour les spas qui, selon les équipements, peuvent atteindre les 20 000€. Il y en a donc pratiquement pour toutes les bourses.

Du loisir au bien-être

Mais aussi pour tous les goûts dans la mesure où le produit n’est plus exclusivement un élément de loisir. « On parle beaucoup de bien-être. Il existe des spas pour le sport, qui permet de s’entretenir ». Comme le spa à nage ou le spa fitness.

Des produits où les nouvelles technologies sont encore ultra-présentes pour le plus grand plaisir d’une clientèle de plus en plus connectée.

Sur le littoral, les nombreuses résidences secondaires sont souvent équipées de piscines.

Les piscines, construites sur-mesure, s’intègrent parfaitement dans l’environnement de n’importe quelle demeure (©Esprit Piscine – JMS Piscines)

Et puis n’oublions pas que le nombre de piscines hors-sol vendues dans la grande distribution explose chaque été.

Ce n’est donc pas pour rien que, sur le marché de la piscine, la France se place en seconde position, juste derrière les États-Unis.

À son tour, la Bretagne ne résiste donc plus à ce désir féroce d’avoir une piscine rien que pour soi.

Chez Jean-Michel Samson, en tous les cas, le travail ne manque pas. La petite entreprise familiale prospère plus que jamais et surfe sur un marché en plein boum.

Yvelines. Hardricourt : le nouvel espace associatif prend vie

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Yann Scotte, entouré de Michèle de Vaucouleurs et de Ghislaine Senée, lors de l'inauguration le samedi 7 septembre.

Yann Scotte, entouré de Michèle de Vaucouleurs et de Ghislaine Senée, lors de l’inauguration le samedi 7 septembre à Hardricourt (Yvelines).

« Le voilà, l’Espace 1901, tant attendu après deux ans de travaux, tremplin des activités culturelles et sportives de notre commune pour accompagner le tissu associatif et la plupart des bénévoles. Ce sont les 500 adhérents de 19 associations qui vont se partager cet outil dans ce lieu unique réalisé sur les fondations de la salle Vovard. » 

Il n’était pas peu fier Yann Scotte, le maire, d’inaugurer samedi dernier le nouvel espace associatif de la commune.

Cinq salles polyvalentes

« Cet espace est composé de cinq salles polyvalentes, poursuit le maire. À vous de l’investir. Une exposition de peintures va l’inaugurer, la suite du programme vous revient. L’Espace 1901 en l’honneur de la loi 1901, de liberté des associations, un des fondements de notre République, est un étendart brandi 118 ans plus tard. Les salles que vous allez découvrir portent de grands noms d’artistes ou de sportifs : Auguste Rodin, Edith Piaf, Marcel Cerdan, Romy Schneider ou encore Antoine de Saint-Exupery. »

Yann Scotte, entouré de la députée de la 7e circonscription Michèle de Vaucouleurs et de Ghislaine Senée, conseillère régionale, a coupé le ruban tricolore d’inauguration, en a distribué de petits bouts à l’assistance comme le veut la tradition avant de dévoiler la plaque de la nouvelle maison des associations.

Chacun a ensuite eu tout le loisir de la découvrir, de lire la plaque inaugurale, véritable leçon d’histoire, et même pour ceux qui le souhaitaient, de s’inscrire dans l’une des associations qu’elle abritera.

Yvelines. De Johnny à Polnareff,elle expose les lunettes des stars à Saint-Nom

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Sandrine Das Neves et les lunettes d'Elton John, les vraies.

Sandrine Das Neves expose notamment les lunettes d’Elton John, les vraies, dans sa boutique de Saint-Nom-la-Bretèche (Yvelines).

De son vivant, Pierre Marly a patiemment conservé les paires de lunettes rapportées par ses clients et pas n’importe lesquels. L’opticien des stars était installé rue François 1er, à Paris, recevant tout le gotha de la chanson, des arts et des lettres.

14 paires de lunettes sont exposées pour une dizaine de jours chez Sandrine Das Neves, qui tient le magasin indépendant, Label Vue, place de l’Europe, à Saint-Nom-la-Bretèche (Yvelines).

Traces de maquillage

« C’est une collection acquise par notre centrale d’achat Optique libre, lors de la vente aux enchères qui a dispersé les plus belles pièces de la collection Pierre Marly, il y a trois ans », explique Sandrine.

Ces 14 paires de lunettes font un tour de France, exposées pour la première fois dans la région de Versailles.

Protégées dans des vitrines, elles sont accompagnées d’une photo de l’artiste et d’une petite notice expliquant le contexte de leur création.

Les lunettes de Johnny

Ce sont les modèles vraiment portés par les stars. Celles de Johnny, qu’il a cassé lors d’un concert, portent encore des traces de maquillage. C’est très émouvant de se trouver devant ces objets authentiques, dessinés par Pierre Marly. »

Jackie Kennedy, Serge Gainsbourg, Nana Mouskouri, Audrey Hepburn, Brigitte Bardot revivent sous cet attribut, qui a contribué à façonner leur personnalité.

Tout le monde connaît les lunettes de Polnareff et Gainsbourg. C’est fabuleux de les avoir là, devant soi. Mes préférées, techniquement, sont celles de Pierre Dac, avec sa branche unique et son asymétrie. C’est très décalé et en même temps très équilibré. On voit là le génie de Pierre Marly », ajoute la professionnelle.

Pierre Marly a contribué à lancer la mode de la lunetterie dans les années 1950. Autodidacte, il avait commencé sa carrière avec Georges Lissac, avant de créer son entreprise.

La collection Pierre Marly comptait 4 000 pièces, patiemment réunies pendant toute sa carrière. Un petit film projeté dans le magasin permet de faire connaissance avec cet artiste de la lunette.

Cette exposition marque les 10 ans de l’opticien Label Vue.

Sandrine Das Neves ne collectionne pas encore les lunettes de ses clients, mais propose des montures réalisées à l’aide d’un scanner et d’une imprimante 3D, qui s’adaptent parfaitement au visage du porteur.

Une façon de marcher dans les pas de Pierre Marly, père de la lunetterie contemporaine.

Emmanuel Fèvre

Pratique
Jusqu’au 18 septembre, Label Vue, place de l’Europe. Du mardi au samedi, de 9h30 à 12h30 et de 14h30 à 19h. Entrée libre. Tél : 01 34 62 18 75.


Football : la Coupe de France débute pour plusieurs clubs du nord Seine-et-Marne

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Julien Allaf et ses coéquipiers du CS Meaux se déplaceront 
en Seine-Saint-Denis pour y affronter le Paris Solitaire Est.

Julien Allaf et ses coéquipiers du CS Meaux se déplaceront
en Seine-Saint-Denis pour y affronter le Paris Solitaire Est. (©La Marne)

Dimanche 15 septembre 2019, les championnats régionaux et nationaux laissent place à la Coupe de France. De nombreux clubs d’Île-de-France sont engagés dans ce troisième tour. Parmi eux, huit clubs du nord Seine-et-Marne.

Torcy déjà qualifié, Meaux se déplace chez une D1

Le plus haut classé d’entre eux n’est autre que l’US Torcy (Nationale 3). Les joueurs de Pedro Marques devaient affronter une équipe de deuxième division : Neuville-sur-Oise (Val d’Oise).

Lire aussi : Football : avant la Coupe de France, le CS Meaux fait le plein de points

Comme le veut la tradition, celle-ci devait accueillir sur son terrain l’équipe torcéenne, classée dans une division supérieure. Mais le terrain de Neuville n’étant pas homologué, le club du 95 a été contraint de déclarer forfait. Torcy est donc qualifié pour le prochain tour. 

Le CS Meaux (Régionale 1) se rendra quant à lui en Seine-Saint-Denis pour y affronter le Paris Solitaire Est, un club de première division. « C’est un match piège, nous allons faire du mieux possible pour l’emporter et garder notre bonne dynamique », affirme Samir Salah, l’entraîneur meldois.

Étampes pour Claye, Lissois pour Mitry

Claye-Souilly est la seule équipe de Régionale 2 du nord 77 qualifiée. Elle jouera elle aussi hors de ses terres.

Lire aussi : Football : Claye-Souilly, Meaux Adom et Val d’Europe débutent leur saison en Régionale 2

Les hommes de Patrick Latraye se rendront à Etampes, une équipe évoluant en Régionale 3. L’US Mitry-Mory, pensionnaire de Régionale 3, recevra sur sa pelouse le FC Lissois, qui joue également en R3 cette saison.

Lire aussi : Football : un ancien joueur de Ligue 1 signe à Claye-Souilly

L’US Lognes, relégué en D1 cette saison aura l’avantage du terrain dimanche. Les Lognots trouveront sur leur passage Sarcelles, qualifiée cette année en Régionale 3. Parmi les autres équipes de D1 du nord Seine-et-Marne, il faut également compter le Pays Créçois. Les Créçois affronteront Noisy-le-Sec, relégué cette année de la Nationale 3 à la Régionale 1.

Enfin, dans le Pays de Meaux, l’US Trilport (D3) aura un match rude à jouer à domicile face à Villejuif, équipe de Régionale 2. Même chose pour Nanteuil-lès-Meaux (D2), qui accueillera l’équipe première de Melun, pensionnaire de R2.

Journée mondiale des premiers secours : révisez les gestes qui sauvent avec les pompiers du Nord

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En cette Journée mondiale des premiers secours, révisez les bases du massage cardiaque avec les pompiers du Nord.

En cette Journée mondiale des premiers secours, révisez les bases du massage cardiaque avec les pompiers du Nord. (©Adobe Stock/Illustration)

Parfois, connaître des gestes simples peuvent sauver une vie. Récemment à Rouen (Seine-Maritime), une femme de ménage a secouru une collègue en arrêt cardiaque grâce à ses bons réflexes. Et vous, connaissez-vous les gestes pour prodiguer un massage cardiaque ? En ce samedi 14 septembre 2019, Journée mondiale des premiers secours, on révise avec les sapeurs-pompiers du Nord.

Tuto massage cardiaque

Sur sa page Facebook, le Service départementale d’incendie et de secours (Sdis) propose un « tuto » vidéo pour apprendre à faire correctement un massage cardiaque. Voici les étapes essentielles à retenir :

  • Vérifier si la victime est consciente
  • Appeler à l’aide
  • Vérifier si la victime respire en écoutant la respiration et en vérifiant si sa poitrine se soulève
  • Si la victime ne respire pas, appeler les secours (18, 112 ou 15), donner des indications claires sur la victime et le lieu où vous vous trouvez
  • Commencer le massage cardiaque. La victime doit être allongée sur le dos, sur un plan dur, poitrine dénudée. Bras tendus, le talon de la main placé sur la poitrine, exercer 30 compressions puis deux insufflations (bouche-à-bouche)
  • Ne pas arrêter le massage avant l’arrivée des secours

Lire aussi : Gestes de premiers secours : tous les élèves de 3e seront formés d’ici 2022

À noter que dans le Nord, de nombreuses associations proposent tout au long de l’année des formations aux premiers secours. Retrouvez toute la liste sur ce site.

VIDÉO. Apprenez le massage cardiaque grâce au Sdis 59 :

Toulouse. Des campements gaulois reconstitués dans un jardin public, le temps d'un week-end

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Le musée Saint-Raymond vous embarque dans une machine à remonter le temps, samedi 14 et dimanche 15 septembre, au jardin Niel à Toulouse.

Le musée Saint-Raymond vous embarque dans une machine à remonter le temps, samedi 14 et dimanche 15 septembre, au jardin Niel à Toulouse. (©Branno Teuta / Musée Saint-Raymond)

Nous revoilà au temps… des Gaulois ! Jamais avare en idées de sorties détonnantes, le musée Saint-Raymond vous embarque ces samedi 14 et dimanche 15 septembre 2019 dans « une véritable machine à remonter le temps ». Le musée d’Archéologie de Toulouse vous invite en effet à découvrir les Gaulois et leur mode de vie… sur les lieux même de la naissance de Tolosa : le jardin public Niel.

Lire aussi : Toulouse : Age of classics, l’expo qui mêle antiquité et culture pop (avec du Jeff Koons dedans)

Des campements gaulois au jardin !

Costume, artisanat, vie quotidienne, combats… Après cette virée au jardin Niel, les Gaulois n’auront plus de secret pour vous ! Durant ces deux jours, quatre troupes de reconstitution vont installer leur campement au cœur du jardin public. L’occasion d’échanger avec ces passionnés qui redonnent vie aux Gaulois, « en utilisant les données les plus actuelles fournies par l’archéologie, l’histoire et l’expérimentation », précise le musée.

Les Gaulois d'Esse, l'un des quatre campements à découvrir au jardin Niel à Toulouse, samedi 14 et dimanche 15 septembre 2019.

Les Gaulois d’Esse, l’un des quatre campements à découvrir au jardin Niel à Toulouse, samedi 14 et dimanche 15 septembre 2019. (©Les Gaulois d’Esse / Musée Saint-Raymond)

Quatre troupes présentes sur le site

Au programme ? Démonstrations de forge, tissage, teinture, poterie, sculpture, frappe de monnaie, travail du cuir, vannerie… Avec aussi des guerriers, qui présentent l’armement gaulois, démonstrations à la clé ! Sans oublier des musiques d’époque. Et bien sûr : des Romains.

Le musée Saint-Raymond indique que quatre troupes sont présentes sur le site : Les Gaulois d’Esse et leurs artisans nous ramènent… au 1er siècle avant notre ère ; Branno Teuta œuvre pour sa part à la reconstitution historique des Gaulois sur la période du IVe au Ier siècle avant J.-C. Gallia Musica présente la musique antique, avec les instruments des Grecs, Romains, Gaulois, Égyptiens et autres Babyloniens. Enfin, Aera Legio / Consularis présente, elle, l’armée romaine républicaine…

Infos pratiques :
Des Gaulois au Jardin Niel
Au jardin public Niel à Toulouse
Samedi 14 et dimanche 15 septembre 2019, de 10 heures à 18h30
Gratuit
Accès : métro ligne B (stations Saint-Agne ou Empalot) ; Bus : L9 – 115 – 54 – 52 -11 ; Vélôstations : 83-87 rue Saint-Roch

Triathlon. 800 participants attendus dimanche à Caen

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Des concurrents dans l'Orne au triathlon de Caen l'année dernière.

Des concurrents dans l’Orne au triathlon de Caen l’année dernière. (©Sport à Caen)

Le triathlon de Caen n’en finit pas de grandir. L’événement organisé sur le cours Koenig accueillera plus de 800 participants, dimanche 15 septembre 2019. Des enfants aux triathlètes confirmés en passant par de nombreux débutants, les profils seront variés aux abords de la Prairie. Mikaël Richomme, entraîneur au Caen Triathlon

Dans notre projet associatif, notre créneau est d’accueillir tous les types de public.

Lire aussi : Triathlon. Trop juste, Caen reste en Division 3

Le Caen Triathlon a triplé ses effectifs en trois ans

Le club caennais surfe sur une discipline en vogue autant qu’il alimente le boom à l’échelle locale. En l’espace de trois ans, le Caen Triathlon est passé de 100 licenciés à 300.

Le sport nature plaît et le triathlon est l’association de trois motricité de base : la course à pied, le vélo et la natation. 

Le succès du triathlon de rentrée du club suit la dynamique du club, à moins qu’il ne la précède. L’année dernière, près de 700 athlètes avaient répondu présent à la manifestation normande. La huitième édition franchira un nouveau cap.

On augmente le nombre de participants d’année en année.

Un triathlon découverte qui attire le matin

L’épreuve du matin (10h00), un triathlon XS découverte (400 mètres de natation, 14 kilomètres de vélo et 2,5 kilomètres de course à pied), affiche complet avec 200 inscrits. L’après-midi (14h00), le contre-la-montre par équipe mobilisera 115 formations. C’est un record.

Les meilleurs clubs de la région ont fait des équipes. Mais à côté, il y a les Sardines, les Pingouins, etc. Les gens aiment ce format parce qu’il est convivial. Cet esprit d’accueil nous est cher.

Le Caen Triathlon associe ces valeurs à de vraies ambitions sportives. À terme, le club espère voir ses meilleures équipes (masculines et féminines) accéder en deuxième division de triathlon et en première division de duathlon, qui réunit vélo et running. Et pour ces sportifs aspirant au haut-niveau, les semaines sont denses. À Caen, les locomotives du triathlon s’entraînent en moyenne entre 15 et 17 heures par semaine.

Le Neubourg et sa région : les rendez-vous sportifs du week-end

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Demain dimanche sur sa pelouse, l'équipe du FC Serquigny-Nassandres  (Dep 1)tentera l'exploit de se qualifier pour le 4e tour de coupe de France face à Evreux FC 27, équipe qui évolue en championnat de Nationale 3 (photo d'archives).

Demain dimanche sur sa pelouse, l’équipe du FC Serquigny-Nassandres (Dep 1) tentera l’exploit de se qualifier pour le 4e tour de coupe de France face à Evreux FC 27, équipe qui évolue en championnat de Nationale 3 (photo d’archives). (©Le Courrier de l’Eure)

FOOTBALL

– Coupe de France (3e tour)

Dimanche 15 septembre (15 h)

Serquigny / Nassandres / FC Evreux 27

Conches / Pacy Menilles

Bernay / Thiberville

– Coupe Gambardella (2e tour)

Samedi 14 septembre (15 h)

Serquigny-Nassandres / Pacy Menilles

Pont-Audemer / Alizay

– Critérium du matin

Dimanche 15 septembre (10 h)

Manneville / Routot

Beuzeville / Roumois Nord

FC Brionne / Ent FCVR/Boissey

Bernay / Brionne Matin

Beaumont / FA Roumois

Vallée Oison / Thiberville

Ent FCGT/Harcourt / Serquigny-Nassandres

Louviers / Quittebeuf

Igoville / Malherbe-Surville

Criquebeuf / FC Pays du Neubourg

Rugles / Saint-Elier

HANDBALL

– Excellence régionale masculin

Samedi 14 septembre (21h15)

Buquet-Elbeuf / Carsix

Dimanche 15 septembre (16 h)

Alençon Saint-Germain / Roumois

– Excellence régionale féminines

Samedi 14 septembre (20 h)

Roumois / Troarn

– 1re division territoriale masculin

Samedi 14 septembre (19h15)

Saint-Sébastien Sports (3) / Roumois (2)

Samedi 14 septembre (21 h)

Evreux Agglo / Carsix (2)

Pont-de-l’Arche / Le Neubourg

Brionne / Stade Verneuil

– 2e division territoriale masculins

Samedi 14 septembre (19h15)

Bernay (2) / Roumois (3)

Brionne (2) / Beuzeville (2)

Rugles (2) / Conches

 

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