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Yvelines. 300 personnes ont dansé le Madison dans les rues de Rambouillet

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Environ 300 personnes ont dansé le Madison dans la rue De-Gaulle à Rambouillet.

Environ 300 personnes ont dansé le Madison dans la rue De-Gaulle à Rambouillet. (©Arnaud Neuveux)

A l’heure où les Rambolitains sortent en famille ou repartent du marché des courses plein les mains, c’était la fête à Rambouillet (Yvelines) ! Environ 300 personnes ont dansé le Madison dans la rue du Général-De-Gaulle, face au Palais du Roi de Rome.

Ce flash-mob a été organisé dans la cadre du festival Rambouillet Yéyé, la fête des sixties préparée par le Lions club.

Pendant environ une heure, les apprentis danseurs se sont trémoussés sur cette danse en ligne créée à la fin des années 1950 outre-Atlantique et popularisée dans les années 1960.

Avant ça, une petite dizaine de commerçants, qui ont pris comme nom de groupe Rambo Twist, a interprété et dansé Rambouillet Yéyé devant la foule qui s’est prise au jeu.

Lire aussi : Yvelines. Rambouillet : Les commerçants chantent les années yéyé

Ce flash-mob était loin d’être la conclusion du festival Rambouillet Yéyé qui se poursuit avec notamment une exposition de photos des sixties les 21 et 22 septembre, un grand tournoi de baby-foot le 19 octobre ou encore le grand gala de conclusion le dimanche 27 octobre.


Nouvelle séance de yoga gratuite à la citadelle de Lille

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Yoga dominical gratuit à Lille (Nord) : nouvelle séance ce dimanche 15 septembre 2019.

Yoga dominical gratuit à Lille (Nord) : nouvelle séance ce dimanche 15 septembre 2019. (©Pixabay/Illustration)

Elles sont toujours plus suivies et plébiscitées ! Une nouvelle séance de yoga gratuite est proposée ce dimanche 15 septembre 2019 à la citadelle de Lille (Nord).

Une foule de personnes, en majorité des femmes même si les séances sont ouvertes à tous, devrait donc à nouveau se réunir, tapis en main et baskets au pied.

Le lieu de rendez-vous est fixé à 10 h 45 au niveau de l’ancien stade Grimonprez-Jooris.

Lire aussi : Le yoga : une des clés du bien-être

Temps ensoleillé

La séance sera comme toujours animée par Olivier Bartlinski, professeur dans la discipline. Pour mémoire, il y a plusieurs mois il avait lancé l’idée sur les réseaux sociaux de ces séances et rapidement obtenu un succès incroyable. Des séances ouvertes à tous.

L’occasion de se dégourdir et de prendre un bon bol d’air frais, d’autant que Météo-France annonce un temps ensoleillé et une vingtaine de degrès !

Lire aussi : On a testé pour vous… Une séance de Yoga

Je ne sais pas vous…mais moi j ai juste envie de continuer ma transformation sur le chemin du yoga 🙏😁🙏

Publiée par Olivier Yoga Pilates sur Dimanche 25 août 2019

Livre sur la Place à Nancy : les rendez-vous à ne pas manquer ce samedi après-midi

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Éric-Emmanuel Schmitt

Éric-Emmanuel Schmitt sera en entretien à l’hôtel de ville de Nancy ce samedi à 14h (©ActuaLitté / Flickr)

Le Livre sur la Place à Nancy (Meurthe-et-Moselle) est le théâtre de nombreux rendez-vous et échanges. Avec près de 600 auteurs conviés et un tas d’événements passionnants répartis sur trois jours et auxquels assister, difficile de faire des choix sans passer à côté d’une manifestation à laquelle on aurait aimé être présent.

Afin de vous aider dans l’établissement de votre programme, Lorraine Actu vous propose de découvrir les grands rendez-vous prévus ce samedi 14 septembre 2019.

Lire aussi : Le Livre sur la Place 2019 à Nancy : le programme de la 41ème édition dévoilé

Entretien avec Éric-Emmanuel Schmitt

Habitué du salon littéraire organisé dans la cité ducale, Éric-Emmanuel Schmitt participera à un entretien dans les grands salons de l’hôtel de ville place Stanislas, à 14h ce samedi. Au cours de cet échange, animé par Jérôme Prod’homme, animateur à France Bleu, l’Académicien Goncourt et romancier évoquera son dernier ouvrage Journal d’un amour perdu paru aux éditions Albin Michel, et dans lequel il parle de la mort de sa mère.

Un moment qui promet d’être tout aussi enrichissant que bouleversant. Une séance de dédicaces suivra l’entretien. 

Rencontre avec Jamy Gourmaud

Qui ne connaît pas Jamy, celui qui aux côtés de Fred, a donné à des millions d’enfants le goût de la science grâce à l’émission C’est pas sorcier ? Si cette époque vous rend nostalgique, Lorraine Actu a de quoi vous remonter le moral. 

Jamy Gourmaud sera en effet présent ce samedi à 14h au Muséum-Aquarium de Nancy afin de présenter son tout premier livre Mon tour de France des curiosités naturelles et scientifiques, paru aux éditions Stock. L’entretien, qui sera animé par Frédérique Brun journaliste à France Bleu, promet de belles surprises.

Lire aussi : Livre sur la Place à Nancy : Franck Thilliez évoque son attachement pour le salon littéraire

Table ronde : Le passé meurtrier

Dans un registre un peu plus sombre cette fois, nous vous proposons d’assister à une table ronde au cours de laquelle Éric Giacometti, ancien journaliste et romancier à succès, présentera La nuit du mal, paru aux éditions Lattès. 

Les amoureux d’Histoire et plus précisément de la Seconde guerre mondiale risquent fortement d’apprécier cette rencontre où l’enfer nazi, thème de l’ouvrage, sera discuté et mis en avant.

Le dialogue s’articulera avec Nathalie Cohen, auteure de la série M.O. Modus Operandi, La secte du serpent, et sera animée par Karine Papillaud, journaliste. Le rendez-vous est donné à 15h au tribunal administratif.

Rencontre avec William Boyd

Les fans de littérature anglo-saxonne risque d’apprécier la nouvelle. Pour la première fois, William Boyd sera à Nancy, et évoquera l’univers qui l’anime et qui lui donne la force d’écrire au cours d’une rencontre prévue à 15h30 dans les grands salons de l’hôtel de ville.

Animée par Christophe Ono-dit-Biot, directeur adjoint de la rédaction du Point, cette rencontre sera également pour l’auteur l’occasion de présenter son dernier roman L’amour est aveugle paru aux éditions Seuil.

Lire aussi : Livre sur la Place à Nancy : le spectacle de clôture mettant en scène Fanny Ardant sera gratuit

Conversation : Intrigues et grandes fresques historiques

Si vous avez apprécié le livre Gang des rêves, alors cet événement est pour vous. L’auteur italien Luca di Fulvio, sera en effet en conversation ce samedi à 16h au tribunal administratif afin de présenter son dernier roman Les prisonniers de la liberté publié aux éditions Slatkine.

Celui-ci échangera avec Romain Slocombe, écrivain incontournable qui a dernièrement publié La débâcle aux éditions Robert Laffont. L’entretien sera animé par Baptiste Ligier, directeur de la rédaction du Magazine Lire.

Lecture musicale : Érik Orsenna raconte Beaumarchais

À 19h à l’Opéra national de Lorraine, se déroulera un moment tout simplement magique. Érick Orsenna de l’Académie française, racontera Beaumarchais en musique, accompagné par les musiciens de l’Orchestre des Arts Florissants.

Un moment à la fois enrichissant mais aussi poétique.

Lecture de Sara Giraudeau et Laurent Gaudé

Laurent Gaudé

Laurent Gaudé sera à l’Opéra National de Lorraine ce samedi soir à 20h30 (©Wikipédia )

Notre programme s’arrête à 20h30, toujours à l’Opéra National de Lorraine. Le temps d’une lecture, Sara Giraudeau, comédienne française, donnera la réplique à Laurent Gaudé, président de cette 41e édition du Livre sur la Place. L’occasion de découvrir ou redécouvrir Écoutez nos défaites paru aux éditions Actes sud en 2016 et écrit par Laurent Gaudé.

Une séance de dédicaces est prévue sur le site.

Lire aussi : Livre sur la Place : Isabelle Autissier, patronne de WWF France, lance un appel pour la planète

Concours Corneille, à Rouen : derniers jours du rendez-vous international de musique baroque

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Le concours corneille, le rendez-vous international mettant en avant la musique baroque à Rouen.

Le concours corneille, le rendez-vous international mettant en avant la musique baroque à Rouen. (©Sylvie Cochet)

La quatrième édition du concours international de musique baroque de Normandie se déroule du 12 au 15 septembre 2019 à la Chapelle Corneille de Rouen (Seine-Maritime). Ce concours qui ouvre chaque année la saison lyrique rouennaise réunit 32 candidats de moins de 32 ans, venus de 13 pays et issus des écoles les plus prestigieuses du monde.

Lire aussi : Opéras, spectacles lyriques, concerts… La saison 2019-2020 de l’Opéra de Rouen est dévoilée

Un rendez-vous reconnu à l’international

Organisé par l’équipe du Poème Harmonique, avec l’appui de l’Opéra de Rouen Normandie, le Concours Corneille est un rendez-vous musical important et une expérience collective et conviviale appuyée sur une remarquable équipe de bénévoles qui accueille le public et héberge gratuitement les candidats pendant leur séjour à Rouen.

« Après trois éditions et autant de disciplines (cordes, chant, clavecin) le retour des voix confirme la vitalité de notre rendez-vous désormais internationalement reconnu, confie Vincent Dumestre, directeur artistique du Poème Harmonique. Les jeunes talents du monde entier se savent désormais attendus à Rouen où jurys et lauréats d’exception ont imposé leur marque depuis 2016. Venus de Vienne, Versailles, Bordeaux ou encore Munich, les élus d’hier montrent la voie aux candidats d’aujourd’hui. Ainsi la Normandie porte-t-elle haut les couleurs de la musique baroque. Nous entendons diffuser la musique baroque à un public le plus large possible et non pas seulement aux initiés ».

Lire aussi : Le voyage exceptionnel d’œuvres du Musée des beaux-arts de Rouen, prêtées à un musée chinois

Jury présidé par Stéphanie d’Oustrac

Stéphanie d'Oustrac est la président du jury de ce quatrième concours Corneille/

Stéphanie d’Oustrac est la président du jury de ce quatrième concours Corneille. (©Jean-Baptiste Millot)

Cette année, le jury est présidé par Stéphanie d’Oustrac, mezzo française, tragédienne, appréciée par de nombreuses scènes baroques mondiales. Son verbe spectaculaire a fait école. Elle sera entourée de six autres jurés, experts internationaux qui ont accepté de se libérer quelques jours de leurs fonctions habituelles pour être présents dans la capitale normande : Alain Perroux d’Aix en Provence, Christian Schirm de l’Opéra de Paris, Ashley Solomon du Royal College of music de Londres, Ludmila Talikova du Bolchoï de Moscou, Damia Carbonell Nicolau de l’Opéra national d’Amsterdam.

Les pays représentés pour cette quatrième édition sont : Bolivie, Etats-Unis, Israël, Brésil, Japon, Italie, Allemagne, Mexique, Pays-Bas, Belgique, Canada, Grande-Bretagne et France.

Déroulement du concours :
• Samedi 14, œuvres sacrées du XVIIe et œuvres du XVIIIe. De 11 à 13 heures, et de 14 à 16 heures. Entrée libre.
• Dimanche 15, finale à 16 heures. Oeuvres de Charpentier, Lully, Campra et Rameau. Accompagnement des candidats sélectionnés par les musiciens du Poème Harmonique. Tarif unique : 5 euros.
• Réservations au 02 35 14 20 93.

Deux prix seront décernés par le jury (4 000 et 2 000 euros ), un prix par le public (1 000 euros) et un prix Jeunes talents qui permettra au lauréat de se produire au Festival européen de l’Association Jeunes Talents.

De notre correspondant André Morelle

Infos pratiques :
À la Chapelle Corneille, 30 rue Bourg l’Abbé, à Rouen, du 12 au 15 septembre 2019.

 

Le nouveau parking du Gué-de-la-Chaîne, un projet multicartes à 300 000 €

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Olivier Bitz sous-préfet coupe le ruban inaugural en présence des élus locaux.

Olivier Bitz sous-préfet coupe le ruban inaugural en présence des élus locaux.

Le nouveau parking du Gué-de-la-Chaîne (Orne) situé à côté du cimetière, a été inauguré samedi matin. « Nous souhaitions sécuriser l’accès au cimetière, car auparavant le fourgon devait stationner le long de la route et l’accès de l’église au cimetière se faisait à pied sur le bord de la route pour les familles du défunt. Ce qui était dangereux, heureusement il n’y a jamais eu d’accident ! », explique Michel Hérouin, maire délégué.

« Nous avons sollicité une DETR qui a été acceptée sur la base de 120 000 €, mais nous n’avons demandé que 110 220 €. Et nous avons obtenu une subvention de 17 262 € de la dotation de soutien d’investissement pour le parking de covoiturage, le solde étant financé par un emprunt contracté en 2018 ».

Un espace pour les bornes de rechargement des voitures électriques a été aménagé, TE61 a été sollicité pour une subvention qui a été accordée à hauteur de 6 400 €. Une aire de déchets avec des containers enterrés et des toilettes publiques ont également été installées, ainsi qu’une aire pour les camping-cars, avec des tables en bois, aire de dépotage raccordé à l’assainissement et une réserve d’eau pour les campeurs « qui pourront se ravitailler au moyen de jetons disponibles au café ».

Le mur du cimetière a aussi été refait, et l’entrée modifiée toujours dans l’objectif de sécuriser le site. Le coût total des travaux s’élève à près de 300 000 €.

L’entreprise Agetho Conseils a assuré la maîtrise d’œuvre, Lochard-Beauce la voirie, le terrassement, et les toilettes publiques, Rongère la maçonnerie, Julien-Legault les espaces verts, TE61 pour les bornes électriques et le radar pédagogique.

Municipales : grand flou à Paris à six mois du premier tour

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Anne Hidalgo à Paris, le 21 mars 2019. (©AFP/Archives/Philippe LOPEZ)

Une dizaine de candidats déjà déclarés, d’autres en attente d’une investiture, une maire sortante en embuscade : à six mois du premier tour des municipales à Paris, le casting est étoffé, mais les stratégies et les rapports de force sont encore mal connus.

« Ce qui risque de se passer dans les villes de plus 10 000 habitants va être amplifié à Paris », prédit auprès de l’AFP Frédéric Dabi, le directeur général de l’IFOP qui s’apprête à publier dimanche un nouveau sondage sur les élections municipales à Paris.

Le politologue pronostique notamment « la fin de la polarisation droite-gauche », un « éparpillement des forces politiques ».

Lire aussi : Gilets Jaunes : Thierry-Paul Valette candidat aux municipales à Paris

« C’est la campagne la plus bizarre »

Au cabinet de la maire PS sortante Anne Hidalgo, dont la candidature devrait être officialisée en décembre, on dit s’attendre à « des triangulaires, voire des quadrangulaires » dans certains arrondissements, dont le XIVe, où la maire sortante Carine Petit (Générations), probable candidate pour l’équipe d’Anne Hidalgo, pourrait affronter le candidat LREM dissident Cédric Villani (inscrit sur les listes électorales le lendemain de sa déclaration) et la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité femmes-hommes Marlène Schiappa.

« C’est la campagne la plus bizarre », estime un stratège et proche de longue date de Mme Hidalgo.

En 2014, les candidats étaient connus. Or, aujourd’hui, les deux candidats qui peuvent prétendre à l’alternance ne sont pas là : LR et LREM.

Vidéo. Edouard Philippe met un terme à la rumeur de sa candidature à Paris :

« On n’aurait pas pu rêver meilleur scénario »

Chez LR (Les Républicains), les candidats à l’investiture Rachida Dati, Marie-Claire Carrère-Gee et Jean-Pierre Lecoq devront attendre octobre pour connaître le choix de leur parti.

Et chez les Marcheurs, les appels au rassemblement n’ont pas été entendus après l’investiture dans la douleur de l’ancien porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux. Le parti est divisé depuis que Cédric Villani a annoncé sa candidature la semaine dernière.

« On n’aurait pas pu rêver meilleur scénario », se gausse un responsable du PS, tandis qu’un autre se réjouit que le mathématicien Villani prenne des voix « à Benjamin Griveaux et aux écolos ».

Désormais, croit-il, « l’objectif de Benjamin Griveaux ce ne sera plus de battre Anne Hidalgo, mais Cédric Villani ».

Lire aussi : Municipales : Cédric Villani annonce officiellement sa candidature à Paris

Cédric Villani, candidat à la mairie de Paris, le 6 septembre 2019 à Paris.

Cédric Villani, candidat à la mairie de Paris, le 6 septembre 2019 à Paris. (©AFP/Archives/FRANCOIS GUILLOT)

« Un Petit Poucet, ça sème des cailloux »

La campagne parisienne des municipales est aussi marquée par de nombreuses candidatures d’outsiders, qui tentent de se frayer un chemin à côté de ces mastodontes.

Pierre-Yves Bournazel, candidat de centre-droit, veut ainsi « incarner l’alternative ». « Je suis un Petit Poucet et un Petit Poucet, ça sème des cailloux », croit celui qui est élu à Paris depuis 11 ans.

« Est-ce que Gaspard Gantzer (fondateur de Parisiennes, Parisiens, et candidat à la mairie de Paris) peut être le réceptacle des déçus ? Est-ce que Cédric Villani peut être un point d’équilibre entre les « anti-Griveaux » et les déçus d’Anne Hidalgo ? », s’interroge également Frédéric Dabi.

Vidéo. Benjamin Griveaux propose de suspendre les travaux à Paris jusqu’à fin 2020 :

Quid des écologistes d’EELV, après leurs bons résultats aux élections européennes les plaçant deuxièmes à Paris (avec près de 20%) ?

« Jamais une campagne écolo n’avait aussi bien commencé », se réjouit leur candidat David Belliard, qui tiendra un meeting à Paris le 24 septembre. Alors que ses voix seront convoitées pour le second tour, M. Belliard tend lui la main à « toutes celles et tous ceux qui veulent porter ce projet avec nous » à les rejoindre derrière eux.

« Comment EELV peut construire un récit de rupture avec la maire de Paris », s’interroge Frédéric Dabi, « quand ils ont été pendant six ans dans la majorité ? »

Reste que chacun des candidats a les yeux rivés sur le premier sondage attendu dimanche, qui permettra d’éclairer sur les rapports de force.

Se voulant au-dessus de l’arène, Anne Hidalgo rendra elle visite à ses soutiens réunis autour de « Paris en Commun » (structure de campagne pilotée par ses proches), avant la publication, le 25 septembre, d’un livre intitulé « Le lieu des possibles ».

Pierre-Yves Bournazel, député et candidat du parti de centre droit Agir à la Mairie de Paris, le 19 juin 2017 à l'Assemblée nationale.

Pierre-Yves Bournazel, député et candidat du parti de centre droit Agir à la Mairie de Paris, le 19 juin 2017 à l’Assemblée nationale. (©AFP/Archives/Thomas Samson)

Source : © 2019 AFP

Verneuil-sur-Avre. Un film et un débat autour du deuil et de la résilience

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Marie Jejcic et Rhéa ShirUdo.

Marie Jejcic et Rhéa ShirUdo © KR Agency

Nouveau ciné-débat au Trianon de Verneuil-sur-Avre (Eure), ce samedi 14 septembre 2019 à 17 h 00. À l’affiche, un documentaire de 70 mn sorti en juin dernier, Et je choisis de vivre, l’histoire vraie d’une maman.

Se reconstruire

L’histoire : à tout juste 30 ans, Amande perd son enfant. Pour se reconstruire, elle entreprend alors un parcours initiatique dans la Drôme, accompagnée de son ami réalisateur, Nans Thomassey. Ensemble, et sous l’oeil de la caméra, ils partent à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont, comme Amande, vécu la perte d’un enfant…

La projection sera suivie d’un débat proposé par la Vernolienne Rhéa ShirUdo, artiste photographe qui a été elle-même confrontée à la perte d’un enfant.

Pour info, le deuil périnatal, selon la définition de l’OMS (à partir de 22 semaines de gestation jusqu’à 7 jours de vie), c’est entre 7 000 et 8 000 cas par an.

Membre de Souvenange, Rhéa présentera l’association reconnue d’intérêt général, laquelle accompagne les familles par la photographie lors d’un deuil périnatal. « Souvenange, contraction de Souvenir et Ange, nom donné aux enfants décédés, a notamment pour vocation de former – avec le personnel des maternités, les photographes et les familles concernées – une équipe qui créera les conditions favorables à une prise de vue photographique de qualité de l’enfant perdu ».

Une trace

Car il faut savoir que, pour beaucoup de mamans, « avoir des photos de l’enfant qu’elle a porté en elle, c’est une trace matérielle de son existence, et ne pas en voir, c’est comme une négation de cet enfant ».

Bien évidemment, « ces photos prises dans le meilleur angle possible et légèrement retouchées pour que les stigmates du décès soit retirés, ne sont remises qu’à la mama qui les montrera, ou pas, à qui elle veut ».

Rhéa ajoute que l’association continue de rechercher des photographes qui accepteraient de travailler bénévolement pour son association.

En parler

Cette présentation sera suivie d’échanges avec le public avec la participation de Marie Jejcic, psychanalyste vernolienne, qui expliquera comment réussir l’épreuve du deuil, notamment celui d’un enfant, « un drame qui n’est absolument pas dans l’ordre des choses », rappelle Rhéa.

Marie Jejcic s’appuiera en particulier sur le film, Et je choisis de vivre, pour indiquer, en autres choses, « qu’on ne peut pas surmonter ce genre de deuil en restant dans son coin, sans en parler à personne ». Bref, la richesse des échanges et des rencontres peuvent aider à surmonter les chocs traumatiques, c’est ça la résilience.

■ Projection du film Et je choisis de vivre, avant le débat autour du deuil et de la résilience proposé par Rhéa ShirUdo, c’est ce samedi 14 septembre 2019 à 17 h 00 au cinéma Le Trianon de Verneuil-sur-Avre. Tarif unique : 4 €.

L'équipe de la semaine. Le SC Thiberville football

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En haut de gauche à droite : Cedric Bellec, Damien Blondeau, Vincent Gasnier, Nicolas Benard, Matthieu Benard, Florian Morin, Raphaël Enos, Clément Routier En bas de gauche à droite : Mikaël Jamet, Ewan Routier, Julien Gouin, Ryan Ranger, Aurelien Beudin, Clément Belleau.

En haut de gauche à droite : Cedric Bellec, Damien Blondeau, Vincent Gasnier, Nicolas Benard, Matthieu Benard, Florian Morin, Raphaël Enos, Clément Routier En bas de gauche à droite : Mikaël Jamet, Ewan Routier, Julien Gouin, Ryan Ranger, Aurelien Beudin, Clément Belleau. (©Le Pays d’Auge)

Cette saison 2019-2020, les joueurs thibervillais ont fait le choix d’évoluer dans le groupe C de R3 (ex Basse-Normandie) plutôt que dans le groupe de l’ex Haute-Normandie avec l’objectif de se maintenir en fin de saison. Ce dimanche, place à la coupe de France, avec un périlleux déplacement à Bernay qui évolue aussi en R3, pour le compte du troisième tour.

Cédric Bellec, l'entraîneur du SC Thiberville.

Cédric Bellec, l’entraîneur du SC Thiberville.

« Un plus pour le club »

Le SC Thiberville continue donc sa progression et a donc réussi le pari de se maintenir à l’issue de la saison précédente pour sa première participation au championnat de régionale 3. Les joueurs, avec Cédric Bellec sur le banc pour la première fois, ont terminé à la huitième place du classement, se donnant ainsi le droit de repartir à ce niveau de régionale 3. Seul changement notoire pour cette nouvelle saison, c’est que le club a souhaité intégrer le groupe du Calvados. « Un plus pour le club » dixit Cédric Bellec avant de poursuivre « On sait que la tâche sera plus compliquée encore cette année en changeant de groupe mais c’est essentiel pour le club s’il on veut continuer de grandir. Je suis sur un projet sur trois ans pour le moment avec le club, j’ai envie que le club en général s’améliore et je suis persuadé qu’en venant dans le groupe du Calvados, le maintien viendra par le jeu. Je ne veux pas jouer le maintien et finir huitième dans le groupe de l’Eure sans proposer du jeu… C’est un nouveau challenge mais je veux que les joueurs prennent conscience qu’il faudra progresser collectivement pour exister dans ce championnat. J’ai un groupe très solidaire qui se battra jusqu’au bout mais les joueurs devront progresser et s’adapter à ce niveau qui est complètement différent par rapport à la saison passée. On a déjà eu un avant-goût avec Troarn dimanche ».

« Il y avait une trop grosse différence technique… »

En ouverture du championnat, Thiberville recevait le FC Troarn, l’un des prétendants à la montée encore une fois cette année. « On a fait une bonne première période ponctuée par l’ouverture du score mais il y avait une trop grosse différence technique entre les deux équipes. On a vu que malgré des conditions de jeu rendues très compliquées par un terrain hyper sec, Troarn a réussi à poser son jeu contrairement à nous. C’est là que l’on a vu la différence technique par rapport à la saison dernière ».

Le SC Thiberville a fait le choix cette saison d'évoluer dans le groupe de l'ex Basse-Normandie de R3.

Le SC Thiberville a fait le choix cette saison d’évoluer dans le groupe de l’ex Basse-Normandie de R3.

« Il faudra vite s’adapter »

Cette deuxième année d’apprentissage commence donc par une défaite pour les partenaires de Raphaël Enos, le portier thibervillais. « On a un début de championnat très compliqué avec la réception de Troarn, un déplacement à Mondeville puis la réception d’Hérouville. Il faudra vite s’adapter et répondre présent après le match d’Hérouville. Si on prend des points avant ce sera du bonus mais après Hérouville, c’est là que les choses commenceront sérieusement pour nous et il faudra prendre les points pour ne pas être dans la Charette dès le début ». La saison en championnat a donc débuté dimanche avec la réception de Troarn mais les joueurs de Thiberville sont encore en lice dans la prestigieuse coupe de France et disputeront ce dimanche le troisième tour avec un court mais périlleux déplacement chez le voisin de Bernay.

« Cela passe par un gros match de notre part à Bernay »

Battu en ouverture de la R3 par Troarn, Thiberville se déplacera ce dimanche 15 septembre 2019 à Bernay dans le cadre du 3e tour de la Coupe de France.

Battu en ouverture de la R3 par Troarn, Thiberville se déplacera ce dimanche 15 septembre 2019 à Bernay dans le cadre du 3e tour de la Coupe de France.

Le club de Bernay avait la saison passée sorti Thiberville au second tour. C’est donc une petite revanche pour ce derby très local où la suprématie territoriale est en jeu et les joueurs de Thiberville espèrent bien continuer l’aventure dans cette compétition de la coupe aux grandes oreilles. Cédric Bellec de commenter « On avait perdu la saison dernière au deuxième tour de la coupe de France déjà face à Bernay. Je suis revanchard et les joueurs aussi. Bernay vient de monter dans le groupe de l’Eure en régionale 3. Les joueurs ont envie et cette compétition est un objectif fixé par le club. Les joueurs espèrent forcément les maillots mais on aimerait surtout passer et tirer un gros à la maison » et de poursuivre « On veut faire un beau parcours dans cette compétition et cela passe par un gros match de notre part à Bernay. Il faut que les joueurs assimilent le fait qu’ils évoluent bien en régionale 3, que le club a grandi et qu’il faut s’enlever de la tête ce complexe d’infériorité par rapport à Bernay, club de la grande ville… ».

La comparaison n’est pas à faire avec le club voisin de Bernay : « le club cherche toujours à améliorer et à développer davantage son école de foot et la formation chez les jeunes. On se structure de plus en plus avec pour objectif d’alimenter les équipes seniors dans les prochaines années. Je suis en charge du foot à onze des 15 ans et 18 ans et j’essaie d’inculquer ce que j’ai connu dans ma jeunesse avec le CA Lisieux et le CS Orbec. Cela prend du temps mais c’est essentiel pour pérenniser le club au niveau de la ligue. En espérant que le dossier du projet de terrain synthétique aboutisse à court terme, ce sera vraiment un gros plus pour le club et forcément pour les joueurs présents mais aussi futurs ».

Lire aussi : Football. Dives-Deauville à l’affiche de la Coupe de France


Découvrez le programme de la Fête du fromage du 15 septembre 2019 à Neufchâtel-en-Bray

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Plus de 25 confréries sont attendues à la Fête du fromage de Neufchâtel-en-Bray (photo d’archives).

Plus de 25 confréries sont attendues à la Fête du fromage de Neufchâtel-en-Bray (photo d’archives (©Le Réveil de Neufchâtel)

Le 15 septembre 2019, la ville de Neufchâtel-en-Bray (Seine-Maritime) fêtera son fromage. À cette occasion, Neufchiflette et burger au neufchâtel seront bien sûr au menu ! Ce’st aussi l’occasion de fêter les 50 ans du fromage neufchâtel AOP et les 25 ans de la Fête du fromage.

Lire aussi : Insolite. Quand Tina Arena fait la promo du fromage neufchâtel

Que l’on soit fan ou pas du neufchâtel ; les organisateurs ont prévu des animations pour tous les goûts. Rendez-vous en centre-ville. Le programme :

Animations en famille gratuites à partir de 10 h :

  • Jeux en bois,
  •  Escalade d’un jardin vertical,
  • Manège à énergie parentale,
  • Parcours sensoriel (jusqu’à 6 ans),
  • Jeux de balles avec l’association Bray Handball,
  • Découverte du ciel avec Astroneuf,
  • Initiation au tir à l’arc avec la 1re Cie d’Arc,
  • De 14 h 30 à 15 h 30 démonstration des Twirling team de Forges,
  • Déambulation de mascotte,
  • À partir de 10 h (au musée) : atelier « la pomme dans tous ses états ». Accueil en continu, sans inscription et ouvert à tous avec la Roulotte scarabée.

Marché fermier et artisanal à partir de 10 h

Ateliers culinaires 

  • 10 h-16 h : démonstration et ateliers avec Philippe Mesuron, master chef saison 1 top 8.
  • – 15 h : atelier de cuisine avec La vache du Louvicamp.

Dégustation

Dégustation de fromages et cidre à 17 h 30

Animations musicales

  • 11 h 15 : concert de la chorale La joie de vivre,
  • 12 h : concert de l’Harmonie municipale,
  • 14 h-16 h : concert du groupe Calvagnole et démonstration de danses normandes avec le groupe Horizons.

Mini ferme à partir de 10h

  • Vaches et veaux de race normande,
  • Brebis,
  • Anes,
  • Volatiles et lapins (association Neufchâtel aviculture),
  • Ruche pédagogique (Syndicat Apicole de Haute Normandie) et de 11 h à 16 h visite du rucher école,
  • A partir de 11 h démonstration de chiens de troupeaux devant l’Hôtel de Ville par les élèves de la MFR de Neufchâtel-en-Bray,
  • Brossage + promenade à poney,
  • Balade en calèche
  • Loto bouse (lots gourmands à gagner).

Lire aussi : Un loto-bouse sera organisé le 15 septembre 2019 à Neufchâtel-en-Bray

Concours de produits fermiers

16 h 15 : résultats sur le podium (Halle au fromage)

Dédicaces

Rencontrez l’auteur François Fouquet et découvrez son dernier livre au musée Mathon-Durand (cf. article page 24).

Patrimoine

  • 10 h-18 h : visite (payante) des collections du musée Mathon-Durand,
  • Visite de la chapelle et source Sainte-radegonde. Les départs sont prévus au rond-point des vaches.

Balade

  • Balade à vélo électrique : départs à 11 h, 14 h et 15 h 30. Sur inscription au chalet vélos,
  • Petit train (boucles commentées) en bas de la Ville (cf article page 5).

Défilé de confréries

  • A partir de 15 h (départ au musée) : défilé des confréries en tenue . Elles seront accompagnées du groupe Millery’z Jazz Band,
  • 16 h 30 : intronisations sur le podium de la Halle au Fromage.

Exposition

 Tracteurs et véhicules anciens.

En images. Voici la nouvelle Miss Midi-Pyrénées, qui représentera la région à Miss France 2020

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Andréa Magalhaes a été élue Miss Midi-Pyrénées 2020, vendredi 13 septembre 2019… au palais des congrès de Mazamet (Tarn).

Andréa Magalhaes a été élue Miss Midi-Pyrénées 2020, vendredi 13 septembre 2019… au palais des congrès de Mazamet (Tarn). (©Miss France)

Elle vient du Gers et a tout juste 20 ans. Andréa Magalhaes a été élue Miss Midi-Pyrénées 2020, vendredi 13 septembre 2019, au palais des congrès de Mazamet (Tarn).

Étudiante en biologie à Toulouse

La jeune femme, originaire du village de Viozan (Gers), et jusqu’ici Miss Gers 2019, est étudiante en biologie à l’université Paul-Sabatier de Toulouse. Sacrée devant la Toulousaine Axelle Breil, Miss Midi-Pyrénées 2019, Vaimalama Chavès, Miss France 2019, et Sylvie Tellier, présidente du comité miss France, la Gersoise a été choisie parmi 18 candidates, toutes élues en amont lors des élections locales et départementales.

Lire aussi : EN IMAGES. Découvrez les 18 candidates à l’élection de Miss Midi-Pyrénées 2019

Andréa Magalhaes a été élue Miss Midi-Pyrénées 2020, est étudiante en biologie à Toulouse

Andréa Magalhaes a été élue Miss Midi-Pyrénées 2020, est étudiante en biologie à Toulouse (©DR)

En route pour Miss France, le 14 décembre

C’est donc elle qui représentera les huit départements de l’ex-région Midi-Pyrénées, lors de la finale nationale de Miss France, qui se déroulera cette année au Dôme de Marseille (Bouches-du-Rhône), samedi 14 décembre 2019, et sera retransmise en direct sur TF1. Avant cela, elle participera à un un voyage de préparation à Tahiti.

 
 
 
 
 
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Premières photos officielles de notre belle ambassadrice 👑😍 @andreamagalhaesoff 📸 @michaelbenete 💄 @nolita_mua #missfrance #missmidipyrenees

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Onze ans après Chloé Mortaud

Andréa Magalhaes sera-t-elle la 2e Miss Midi-Pyrénées à être élue Miss France ? La dernière (et la seule) à avoir remporté le titre jusqu’ici est Chloé Mortaud. C’était fin 2008. Onze ans après, la couronne reviendra-t-elle dans la région ?

‪Félicitations à Andréa Magalhaes élue Miss Midi-Pyrénées pour Miss France 2020 !‬

Publiée par Miss France sur Vendredi 13 septembre 2019

Deux Toulousaines sur le podium
À noter que le podium est complété par deux jeunes femmes originaires de la Ville rose.
– Première dauphine : Emma Arrebot-Natou, 18 ans et première dauphine de miss Toulouse. 
– Deuxième dauphine : Alisée Vales, 20 ans et miss Toulouse.
> Lire aussi : Miss Toulouse 2019 : découvrez la jeune femme qui a été élue « Reine de la Violette »

Handball / Ligue des Champions : face au Vardar Skopje, Montpellier doit "ébranler la montagne"

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Derniers préparatifs vendredi avant la réception du Vardar Skopje samedi.

Derniers préparatifs vendredi avant la réception du Vardar Skopje. (©CN)

C’est un géant qui se dresse devant le Montpellier Handball pour démarrer la Ligue des Champions. Comme la saison dernière d’ailleurs, mais cette fois auréolé du titre, le Vardar Skopje se présente au palais des sports René Bougnol. Après un derby qui leur a échappé, la mission ne sera pas facile pour les Montpelliérains qui entendent faire oublier l’échec de la saison passée où ils n’étaient pas sortis de leur groupe.

Lire aussi : Handball : de la casse à Montpellier après le derby

Colère et frustration après Nîmes

Deux jours après la défaite à Nîmes, Patrice Canayer donne ses impressions : « Il y a d’abord un sentiment de gâchis car on pensait avoir fait le plus gros du chemin en revenant en deuxième période après une première vraiment pas bonne de notre part où on a réussi à limiter les dégâts. On a fait n’importe quoi dans les six dernières minutes avec beaucoup trop de bêtises qui ne sont pas pardonnables à ce niveau. Il y avait donc de la colère et de la frustration ». Ajoutez à cela les blessures de Mohamed Soussi et Jonas Truchanovicius pour compléter le tableau…

Le manager montpelliérain appelle à « regarder les choses avec lucidité et calme. On s’est fait « écraser » d’un but 25-24. On n’a pas perdu contre un club lambda. On a perdu à Nîmes dans des conditions particulières où on était devant à 6 minutes de la fin et où on s’est écroulés ».

De cette rencontre, il retient, pour le positif, « le calme et de la sérénité qui nous ont permis de gérer le temps faible pour se remettre dans le match », le comportement de Yanis Lenne « qui n’était pas titulaire et est rentré en mordant complètement dans la rencontre » ou encore la performance de Marin Sego qui « confirme sa dimension de numéro 1 et surtout qu’il est un gardien rassurant qui joue un rôle majeur dans notre effectif ».

« La donnée aujourd’hui que l’on ne maitrise pas c’est le comportement dans la compétition » regrette toutefois Patrice Canayer, « Ce que l‘on dégage par moment est insuffisant en termes de concentration, d’agressivité et d’engagement mental ».

Le comportement dans la compétition

« Il y a un certain nombre de joueurs qui pour moi en compétition ne sont pas à la hauteur de ce qu’ils sont capables de faire et dont j’attends beaucoup plus à la fois dans l’expression individuelle et collective » pointe Patrice Canayer. Et de citer en exemple à suivre le gardien croate arrivé cet été : « Marin Sego s’est comporté comme un joueur majeur, cadre, solide et rassurant. Mais on ne peut pas faire avec un seul. Aujourd’hui, il y a Marin et les autres en termes d’efficacité et de la maturité qui est dégagée ».

S’il pointe du doigt, comme avec regrets, Diego Simonet « dont on attend qu’il soit le vrai meneur dont on a besoin » ou Jonas Truchanovicius « qui doit être le vrai défenseur et attaquant que l’on attend », Patrice Canayer ne tape pas encore du poing sur la table : « Je suis complètement en phase avec ce groupe et j’ai une grande confiance dans cette équipe. C’est une équipe qui a besoin de se révéler et dont les joueurs majeurs ont besoin de prendre les clés dans la compétition ».

L’entraîneur estime donc que « le gros du travail à faire aujourd’hui est dans les attitudes et le comportement dans la compétition. Actuellement ce que je vois dans la compétition n’est pas à la hauteur des entraînements et des possibilités de cette équipe (…) Il faut que l’on soit plus dans l’exigence réciproque. Pas celle de l’entraîneur envers les joueurs mais les joueurs entre eux. En interne, il faut que le niveau d’exigence soit très fort pour tirer tout le monde vers le haut ».

L’échec de la la saison dernière

L’échec de la saison dernière, où les Montpelliérains, alors tenant du titre, n’ont pas réussi à sortir de leur groupe, a marqué le club. « Montpellier s’est pris les pieds dans le tapis en Ligue des Champions l’année dernière, c’est impossible que deux années de suite cela se passe comme ça. L’objectif de sortir des poules fixé par le président est à une hauteur tout à fait raisonnable » juge Patrice Canayer.

Le groupe a t-il de son côté une plaie à cicatriser ?  « Il y a deux catégories de joueurs. Ceux qui sont arrivés chez nous et qui sont vierges par rapport à l’histoire du club » rappelle l’entraineur qui dresse un premier bilan de ses recrues, « Avec Marin Sego on a une forme de sagesse, de calme, de maitrise qui fait qu’il ne passe pas son temps à gesticuler et à crier. C’est un gardien rassurant par son comportement et ses performances. Yanis Lenne et Hugo Descart sont très largement à la hauteur où on les attend. Gilberto Duarte a beaucoup de qualités mais, actuellement, il est physiquement court et a du mal à tenir un match entier ».

À l’encontre des anciens, Patrice Canayer se montre nettement plus exigeant : « Ceux qui sont restés, qui ont été champions d’Europe avec Montpellier, dont les contrats ont été renouvelés et dont on aimerait qu’ils soient au niveau qui nous a amené au titre, doivent être des joueurs majeurs dans notre dispositif. Le club leur a donné beaucoup et en attend beaucoup en retour. Ils le savent ».

Le Vardar Skopje, la meilleure équipe européenne

Patrice Canayer ne cache pas son admiration pour son adversaire du jour : « Je le dis et je le répète, le Vardar est la meilleure équipe européenne, sans l’ombre d’un doute. Le Vardar c’est sur les trois dernières saisons : deux titres en Ligue des Champions et une demi-finale perdue contre nous d’un but. Et dans un club qui depuis trois ans est sans arrêt en crise financière dans un psychodrame permanent. J’ai un immense respect pour ce que fait cette équipe et je trouve qu’ils sont sous-côtés à un point qui m’effare par rapport à ce qu’ils sont capables de produire ».

Et si le manager montpelliérain avoue qu’il aimerait « rendre l’équipe de Montpellier aussi dure à jouer que le Vardar », il en détaille les qualités : « C’est une équipe de durs au mal à la fois sur l’aspect physique et psychologique. Ils ont beaucoup d’expériences et sont toujours très lucides même dans les moments difficiles. Ils arrivent à voir très vite où tu as des points de faiblesse, appuient dessus et ça fait très mal ».

Pour Patrice Canayer la principale force du Vardar est d’être « une équipe caméléon capable de s’adapter à l’adversaire. C’est une des rares équipes qui joue avec trois systèmes défensifs. Ils peuvent imposer leur jeu et aussi jouer pour te foutre en l’air le tien. Peu d’équipes sont capables de ça et c’est pour ça qu’ils ont autant de réussite en Ligue des Champions. Ce sont des malins, ils ont un plan A, B et C. Donc avant de les faire tomber, c’est difficile ».

Alors les Montpelliérains sont-ils capable de perturber la meilleure équipe européenne ? « Le challenge est à la hauteur. On est à domicile, on se doit de bien rentrer dans cette compétition » estime Patrice Canayer qui lance un dernier message : « Le Vardar est une montagne et j’attends que l’on ébranle la montagne, qu’on la bouscule et qu’on la fasse tomber ». Aux joueurs de montrer la même détermination que leur entraîneur.

> Montpellier – Vardar Skopje, samedi 14/09 à 17h15 au palais des sports René Bougnol. Billetterie : 15 € et 12 € en tarif réduit. Match diffusé sur BeIN Sports 3.

Montpellier : Sego, Portner – Guiraudou, Simonet, Villeminot, Descat, Grebille, Tskhovrebadze, Bos, Pettersson, Richardson, Lenne, Afgour, Duarte.

Vardar Skopje : Ghedbane, Kugis – Kukulovski, Dimitroski, Kristopans, Karapalevski, Sikosek Pelko, Dissinger, Atman, Skube, Kalarash, Cupic, Dibirov, Gorbok, Shishkarev, Gorpishin.

Les autres matchs du groupe B :
FC Porto – Meshkov Brest (samedi 14/09 à 19h)
Veszprem – Zaporozhye (dimanche 15/09 à 17h)
Kiel – Kielce (dimanche 15/09 à 19h)

Yvelines. Maison en péril rue Paul-Doumer à Triel-sur-Seine : le dossier piétine

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Les étais du 177, rue Paul-Doumer ne sont pas près d'être enlevés.

Les étais du 177, rue Paul-Doumer ne sont pas près d’être enlevés. (©Thomas Richardson/ Le Courrier des Yvelines)

Le 21 mai 2018, des fissures inquiétantes étaient apparues sur une habitation au 177, rue Paul-Doumer à Triel-sur-Seine (Yvelines).

La Ville avait fait évacuer en urgence le locataire des lieux puis elle avait saisi le tribunal administratif de Versailles pour obtenir la désignation d’un expert afin de déterminer les mesures nécessaires pour garantir la sécurité des occupants et des tiers.

Qu’en est-il plus de quinze mois plus tard ? Le dispositif de soutènement aménagé pour éviter l’effondrement de l’édifice est toujours en place, empiétant quelque peu sur la route départementale.

La circulation alternée avec des feux a été remplacée par un système de priorité misant sur la courtoisie des automobilistes. La circulation reste compliquée aux heures de pointe.

Autre conséquence, les voisins de l’édifice ne peuvent plus accéder à leurs garages pour stationner leurs véhicules.

Accès bloqué

C’est ce que confirme Stéphane qui a acheté un appartement au 181 rue Paul-Doumer en avril 2018.

Nous sommes quatre copropriétaires et en principe nous avons chacun un garage et une place de stationnement en extérieur. À cause de la maison d’à côté, l’accès est bloqué et nous devons stationner nos véhicules sur la voie publique. Et depuis qu’on le fait, on a régulièrement des dégradations sur la voiture. Il faut dire que la rue Paul-Doumer n’est pas très large. Un bus et une voiture se croisent difficilement à certains endroits. »

Selon Stéphane, les copropriétaires ont examiné la possibilité de faire appel à un avocat pour retrouver l’accès à leurs parkings privés.

Mais le coût est trop important et le résultat incertain… »

« Le propriétaire fait la sourde oreille »

Le maire, Joël Mancel, indique que des autorisations de stationner sur la voie publique ont été accordées aux copropriétaires.

Ils ont un badge qui leur permet de stationner en ville, y compris sur les zones bleues, sans risquer d’avoir une contravention. »

La Ville indique par ailleurs qu’elle a dû intenter, au mois d’août dernier, un recours auprès du tribunal de grande instance de Versailles dans le but d’obtenir l’autorisation de pénétrer dans les lieux.

Le propriétaire fait la sourde oreille et n’a pas répondu à nos sollicitations. À deux reprises, le bureau d’études (cabinet Atlas Géotechnique) chargé de faire une analyse de l’état de la maison et de définir si elle doit être rasée ou si elle peut être sauvée, s’est présenté au rendez-vous, mais le propriétaire n’était pas là. »

La décision du tribunal est attendue le 14 octobre prochain. Si elle donne raison à la Ville, celle-ci pourra ou bien démolir la maison ou la faire restaurer aux frais du propriétaire. À moins que le propriétaire n’intente un recours, ce qui retarderait encore les travaux.

« En plus, il se joue une bataille d’assurances qui fait pourrir le dossier », regrette enfin le maire.

Football. La Coupe de France ou l'heure des retrouvailles pour les frères Suzanne

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Florian Suzanne célèbre un but sous le maillot de Mondeville en 2016-2017. Son frère Nicolas, qui entame sa deuxième année à l'AG Caen, le poursuit sur la photo. Les deux se retrouveront comme adversaire cet après-midi.

Florian Suzanne célèbre un but sous le maillot de Mondeville en 2016-2017. Son frère Nicolas, qui entame sa deuxième année à l’AG Caen, le poursuit sur la photo. Les deux se retrouveront comme adversaire cet après-midi. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Quand ils ont vu le tirage du troisième tour de la Coupe de France, Nicolas et Florian Suzanne ont sûrement senti leur rythme cardiaque s’accélérer. Ce samedi 14 septembre 2019, les deux frères s’affronteront sur la pelouse de Mondeville. Le second portera les couleurs du club visiteur, l’AG Caen (N3). Le premier a retrouvé le maillot mondevillais (R1), celui qu’il avait porté pendant plus de dix ans avant d’atterrir lui aussi à l’Avant Garde la saison dernière. 

Lire aussi : Football – Régional 1. Les frères Suzanne quittent Mondeville pour l’AG Caen

L’un est rentré à Mondeville, l’autre est resté à l’AG Caen

Florian Suzanne avait quitté l’USONM en même temps que son aîné sur une rétrogradation administrative en R1. Cet été, il a fait le choix de retourner dans son ancienne famille. 

J’avais un sentiment d’inachevé et l’impression d’avoir abandonné mon club. Je le vivais mal. Je suis content d’être revenu. 

L’idée de faire le même chemin retour a traversé l’esprit de Nicolas Suzanne mais il est resté fidèle à son engagement. « J’avais donné ma parole à l’Avant Garde et je ne voulais pas revenir dessus. » Alors pour la première fois depuis des années, la route des frangins s’est séparée cet été. « C’est un sentiment bizarre, reconnaît le benjamin des frères Suzanne, 24 ans. Le fait de ne plus l’avoir à côté de moi sur le terrain et dans le vestiaire crée un déséquilibre. » « Il y a un petit vide », confirme Nicolas, six ans de plus.

Lire aussi : Football – Régional 1. Florian Suzanne et Teddy Gaudiche retournent à Mondeville

Un match très spécial

Cet après-midi, Florian et Nicolas partageront de nouveau le même terrain de jeu. Sur un plan purement sportif, l’un et l’autre pouvaient difficilement imaginer tirage plus périlleux. Mais la perspective des retrouvailles prend le dessus. Nicolas Suzanne :

C’est incroyable de tomber si tôt sur Mondeville mais je suis content de rejouer contre mes potes et mon frère. Ce sera assez spécial, surtout que je risque de me retrouver dans la zone de Flo. 

Le défenseur mondevillais ne cache pas une certaine appréhension. « On joue ensemble depuis tout petit, alors ce n’est pas évident de s’affronter. » Pas question, toutefois, de jouer petit bras une fois sur le rectangle vert. « Je sais qu’il sera le premier à mettre la semelle, sourit Florian. Cela ne nous empêchera pas de prendre un ricard ensuite ! »

Lire aussi :  Football – National 3. Florian Suzanne (USON Mondeville) : « Le groupe vit bien »

Nicolas (à gauche) et Florian Suzanne après leur saison pleine à Mondeville en 2016-2017.

Nicolas (à gauche) et Florian Suzanne après leur saison pleine à Mondeville en 2016-2017. (©DR)

Deux caractères bien distincts

Pour le chambrage, on repassera. « On n’est pas comme ça entre nous », assure le benjamin. Tout juste Florian Suzanne admet-il que seul un carton rouge peut calmer le caractère souvent volcanique de son frère une fois le match lancé. « Il est fou sur un terrain alors que c’est tout l’inverse dans la vie ! » Nicolas, « l’organisateur de soirées à Mondeville », est pour sa part d’une placidité à toute épreuve. Florian :

Il ne dit rien, il est très calme. Moi, je suis impulsif et très nerveux.

Les différences s’expriment aussi dans le jeu, à l’image des 15 bons centimètres qui séparent les deux hommes. « Florian a d’énormes qualités physiques, il anticipe bien, il a un bon jeu de tête et il est adroit dans les relances », souligne Nicolas. Ce dernier est attendu comme « un adversaire redoutable, très généreux, qui récupère beaucoup de ballons et court partout » par son frère.

C’est mon grand-frère : il a toujours été un exemple pour moi.

« On espère rejouer ensemble »

Le troisième tour de la Coupe de France fera un déçu et un demi-satisfait d’avoir éliminé son frère. Mais le traditionnel débrief d’après-match n’en sera que facilité. Et les parents reverront à nouveau leurs deux fils ensemble. Il leur faudra attendre au moins une saison pour les observer dans la même équipe. Nicolas :

On espère rejouer ensemble mais on va d’abord se concentrer sur cette saison.

Éliminée au septième tour la saison dernière, l’AGC rêve d’un nouveau périple en Coupe de France. Mondeville aspire à la même chose. « Ce n’est pas un tirage idéal mais il faut de toute façon passer par là pour sortir de la région », rappelle Florian Suzanne. Et en termes d’émotions, ce Mondeville – AG Caen aura une saveur bien particulière pour son frère et lui…

Jura. Trois Jurassiens seront dans la course dimanche 15 septembre à La Forestière

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Maxime, Florian et Cyril, vont courir sous les couleurs du Team La Forestière

Maxime, Florian et Cyril, vont courir sous les couleurs du Team La Forestière (©La Forestière)

Cyril Schuehmacher, Florian Buffard et Maxime Colin, sont membres du Team La Forestière. Tous trois partagent un point commun : le Massif du Jura qui les a vus grandir.

Ce sont des mordus de VTT, qui se donnent à la compétition, mais tout cela en amateur puisque tous les trois ont une activité professionnelle ; ce qui ne facilite pas les séances d’entraînement intense qu’il faut accumuler pour atteindre un certain niveau.

Dimanche 15 septembre 2019, ils seront une nouvelle fois dans la compétition avec l’objectif de faire si possible un top 20, voire mieux, car tous trois aussi sont attachés à cette épreuve mythique qu’est La Forestière qui est la grande finale de l’Alpine Cup. Sachant que nos trois compères pointent dans le top 12 avant l’ultime course. 

Les trois copains sont également qualifiés pour les mondiaux qui auront lieu dans la Valais en Suisse la semaine suivante ; seuls Cyril Schuehmacher et Maxime Colin feront le déplacement.

Avant le week-end, ils nous ont confié quelques impressions avec un dernier point commun : la gentillesse.

Pour Cyril Schuehmacher : « la saison s’est bien passée. Je crois même que c’est ma meilleure saison. Pour me qualifier pour les Mondiaux, il fallait se classer une fois dans les 20 premiers sur une manche du Marathon Series. Cela nous a permis de voyager en Belgique, en Suisse, en Italie….

Au total j’ai participé à une quinzaine de courses de formats différents de 80 à 140 km avec jusqu’à 7 000 m de dénivelé pour la MB Race début juillet », explique cet ingénieur en mécanique en Haute-Savoie.

« C’est un sacré défi de faire les quatre courses de l’Alpine Cup, où la Forestière peut faire figure de course moins difficile, mais le parcours est roulant et il faut aller jusqu’au bout ! ».

Pour Maxime Colin qui a fait ses débuts à l’UC Morez, et qui est directeur de travaux où il doit gérer les chantiers, le plus difficile c’est de trouver du temps pour s’entraîner. « Du coup, les débuts de saison ne sont pas les meilleurs. Et on se demande alors en mai qu’est-ce-qu’on fait sur le vélo !

Par contre La Forestière arrive au moment où on arrive au top. J’ai participé cette année avec Florian à une course par étapes en Suisse où nous nous sommes classés 3e. Je suis également content d’avoir fait un podium sur le 100 km de la MB Race.

Après la Forestière, le plus dur sera d’enchaîner dans la foulée avec les Mondiaux. Il y aura les meilleurs, dont je ne me mets pas la pression ».

Après une bonne saison de ski, Florian Buffard, également de l’UC Morez est plutôt satisfait de sa saison. « A la MB Race je n’étais pas trop en forme dont j’ai fait le petit parcours.

Après un break de vacances j’ai retrouvé la forme et j’ai gagné la semaine dernière en Suisse. La Forestière est un gros objectif. L’an dernier je m’étais classé 16e, j’espère faire un top 15 voire un top 10 ce serait bien », conclut-il en se rappelant que c’est grâce à une victoire sur la forestière en minime, que le goût de la compétition en VTT lui est venu, lui qui faisait du ski alpin avant.

A suivre de près jusqu’à l’arrivée dimanche en fin de matinée à Arbent !

Saint-Pierre-en-Val. 50 ans de mariage pour Jocelyne et Gérard Masson

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Le couple Masson entouré de leurs enfants et petits-enfants.

Le couple Masson entouré de leurs enfants et petits-enfants.

Samedi 2 août 1969, à Mers-les-Bains. L’adjoint au maire Denis Motte officialise l’union de Jocelyne et Gérard, respectivement âgés de 20 et 21 ans. Samedi 7 septembre soit un peu plus de 50 ans plus tard, le couple Masson était réuni en mairie de Saint-Pierre-en-Val pour fêter leurs noces de diamant.

Rencontre au Tréport

Jocelyne est née le 3 août 1948 à Bouvaincourt-sur-Bresle dans une famille de six enfants. De 1962 à 2000 -soit durant trente-huit années- elle travaillera à l’usine Erickson-Alcatel. De son côté, Gérard Masson est né à Bailly-en-Rivière, un 22 décembre 1947, au sein d’une famille de dix enfants. Après des petits boulots, il entrera à la verrerie en 1972 et y restera jusque 2004, année à l’issue de laquelle il prendra sa retraite.

C’est en 1964 que Jocelyne et Gérard se rencontrent : « En 1964, Gérard travaillait au Tréport. Et comme tout jeune, il cherchait l’âme sœur, raconte le maire de Saint-Pierre-en-Val, Daniel Roche. Jocelyne fréquentait l’école ménagère. Et au détour du musoir du Tréport, vous vous êtes rencontrés. »

Durant leur relation, Gérard se voit dans l’obligation d’accomplir son service militaire. Chose faite durant 18 mois au Havre, entre 1967 et 1968. Une fois de retour, quelques mois plus tard donc, ils se marieront le 2 août 1969. De leur union vont naître deux enfants : Séverine le 23 février 1973 et Grégory le 30 janvier 1984. « Je les ai vus gambader dans la cour de l’école », confie Daniel Roche, quelque peu nostalgique. Ces derniers donneront à Jocelyne et Gérard la joie de devenir trois fois grands-parents.

La secrétaire de mairie Nathalie Dissard a ensuite relu l’acte de mariage rédigé en mairie de Mers-les-Bains en 1969. Le couple s’est redit « oui » sans aucune hésitation.

Après les avoir félicités, le maire Daniel Roche a donné rendez-vous « dans cette salle pour fêter vos noces de diamant [60 ans], et peut-être un grade supplémentaire d’arrière-grand-parent ».

Félicitations !


Sarthe : trois blessés dans deux accidents

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Les pompiers sont intervenus sur deux accidents dans le département de la Sarthe.

Les pompiers sont intervenus sur deux accidents dans le département de la Sarthe.

Deux accidents sont survenus, ce samedi 14 septembre 2019, à La Flèche et à Lavardin (Sarthe). Ils ont fait trois blessés légers.

Deux accidents blessés à Lavardin

Le premier accident de ce samedi 14 septembre 2019, a eu lieu, à Lavardin, au Lieudit « Les Forges, à 05h33.

Il s’agissait d’une perte de contrôle d’un véhicule léger. L’accident a fait deux blessés légers. Ils ont été pris en charge et transportés au Centre Hospitalier du Mans par les pompiers de Conlie et de Degré.

Un accident à la Flèche

Le deuxième accident s’est produit, à La Flèche, au 7 rue des Lavallois, vers 09h57.

La collision entre un véhicule et un cyclo a fait un blessé léger transporté au CH Le Bailleul par les pompiers de La Flèche.

Automobile. Le rallye de Lisieux 2019 est lancé avec déjà Eric Brunson aux commandes (le classement)

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Les Véhicules Historiques de Compétition ont ouvert le bal.

Les Véhicules Historiques de Compétition ont ouvert le bal. (©Le Pays d’Auge)

Le rallye de Lisieux, 11e du nom, a donc débuté ce samedi 14 septembre 2019. 87 équipages ont pris le départ de la version moderne avec une petite surprise puisque Xavier Lemonnier n’a pas pris le départ de l’épreuve.

Du coup, Eric Brunson a ouvert la route et le grandissime favori du rallye n’a pas tardé à trouver le bon tempo puisqu’il avait déjà 12 secondes d’avance après la première spéciale. Mieux après deux spéciales, et 10 secondes d’avance supplémentaires, Eric Brunson semble déjà avoir pris une sérieuse option sur la victoire.

Marc Amourette, après deux spéciales, suit à 21 secondes. Thomas Chauffray s’est, de son côté, emparé de la troisième place du podium. Michel Bourgeois et Emmanuel Hervieu complètent le top 5.

Le classement rallyGT

Dans la catégorie VHC, 12 équipages ont pris le départ et après trois spéciales, Marc Lemoine mène la danse devant Patrick Hautot et Philippe Gouley.

Le classement VHC RallyGT

Logement en Seine-et-Marne. La nouvelle antenne du DAL de Vaux-le-Pénil a besoin de bénévoles

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Aniès Debriel, Jean-François Chalot et Sonia Arokiassamy à l'antenne de Vaux-le-Pénil

Aniès Debriel, Jean-François Chalot et Sonia Arokiassamy à l’antenne de Vaux-le-Pénil (©La Rep77)

Une nouvelle annexe du DAL77 (Droit au logement) s’est installée au 4 allée Bréau, à Vaux le Pénil.

Cette association nationale a été créée en 1990 dans le 20e arrondissement de Paris par des familles mal-logées ou sans logis, en réaction à une expulsion de familles avec enfants de deux immeubles squattés.

« Le DAL se préoccupe du droit au logement, pour offrir un toit décent à tout le monde. Il assure aussi la défense des locataires », indique Jean-Francois Chalot, président du DAL77.

Cela fait 5 ans que le DAL s’est installé en Seine-et-Marne, à Melun précisément. Depuis mars, une permanence à Vaux-le-Pénil est ouverte le mardi, de 14 h à 16 h, et le vendredi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 16 h.

Disposant actuellement de 7 bénévoles, elle est à la recherche de toutes les bonnes volontés. « On se partage les différents dossiers de l’agglomération melunaise et il y en a de plus en plus, souligne Jean-François Chalot. Pour la seule ville de Vaux-le-Pénil, nous en avons actuellement une douzaine. Il nous faut des bras en plus ! »

Hausse des expulsions

Mercredi 4 septembre, l’antenne pénivauxoise a évoqué le manque de gardiens d’immeubles dans le département, et l’inquiétude des locataires, qu’elle remonte auprès des bailleurs sociaux.

« Des squats sont signalés dans certains quartiers, ce qui fait peur aux gardiens,explique Sonia Arokiassamy représentante des locataires de Trois Moulins Habitat.Il y a des demandes de mutations et nous avons parfois du mal à repositionner un concierge, qui doit en plus cumuler plusieurs tâches comme le ménage et l’administratif », explique Sonia Arokiassamy, représentante des locataires de Trois Moulins Habitat.

Le DAL77 intervient également dans les procédures d’expulsions locatives. À Melun, en 2018, il a constaté une hausse de 15 % des expulsions.

« Parfois, on peut trouver un arrangement avec le bailleur, on arrive à trouver des solutions et ainsi à éviter l’expulsion », ajoute Aniès Debriel, représentante des locataires des Foyers de Seine-et-Marne.

Renseignements au 09 54 26 48. Mail : vlpdal7777@gmail.com.

Le son du samedi : BelpheGorZ

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BelpheGorZ, et son album éponyme.

BelpheGorZ, et son album éponyme. (©Closer Records)

À Marseille, il n’y a pas que IAM, Massilia Sound System, Nitrate ou Psy 4 de la Rime. Il faut aussi compter sur BelpheGorZ.

Au commencement, il y avait un duo rock, Lady Godiva, formé par Krees D. à la guitare (un ancien du groupe Nitrate), et Tallulah X au chant. À son actif, deux albums oscillant entre glam rock et indus, respectivement parus en 1999 et 2004. Mais en 2010, l’équipe s’étoffe pour devenir un groupe, qui prend le nom de BelpheGorZ. 

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Depuis 2016, le groupe se compose de Tallulah X (chant), Krees D. (guitare, chants additionnels), Guyno de St-Zack (claviers), Fred L. (basse) et Mekanikman (percussions). Le groupe est revenu en avril dernier, avec un nouvel album, lui aussi baptisé BelpheGorZ.

Rock électro-punk-vintage ?

Cet album se compose de 11 titres, dans la langue de Shakespeare, tels que Vintage Girl, Creepy Birthday, Stinky City ou encore Still Alive no Fantasy. Onze plage à consommer sans modération.

Certains verront en BelpheGorZ un renouveau d’un rock urbain à la fois subtil et sauvage. Et l’écoute de cet album ne pourra pas nous faire dire le contraire. « Subtil » par l’habile fusion entre les textes inspirés de Krees D. et la voix savoureuse de Tallulah X. Union qui est d’ailleurs la marque de fabrique de BelpheGorZ.

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« Sauvage » pour l’énergie que dégagent ces compositions, tantôt punk, tantôt vintage, garage ou rockhabilly, parfois avec un soupçon d’électro faussement gothique, mais toujours rock… Comme nourries par Damned, X-ray Spex, T.Rex, Blondie ou B-52’s. Il suffit d’écouter la dernière plage de l’album, reprise survoltée du Radioactivity du groupe synthé-pop allemand Kraftwerk pour en être convaincu.

La voix possédée de Tallulah X, à la manière d’une prêtresse vaudou sous ectasy, fredonne, hurle à la lune en de longues incantations planant sur un magma de guitares en fusion et de claviers déjantés.

Le groupe BelpheGorZ.

Le groupe BelpheGorZ. (©Closer Records.)

Depuis le lancement de cet album, BelpheGorZ a été diffusé sur plus de 110 radios. L’album est également distribué sur les plates-formes numériques telles que I Tunes, Fnac, Virgin, Deezer…

BelpheGorZ est un album qui se savoure, qui se déguste sans retenue. Un produit artisanal, dans le sens passionné du terme, qui démontre qu’en termes de musique, le savoir-faire made-in-France est toujours d’actualité. Alors, on monte le son… 

 

BelpheGorZ, chez Closer Records. Page Facebook.

Du Goldman à Tonneins, pour la bonne cause

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Concert 100% Goldman au profit de l'AME

Concert 100% Goldman au profit de l’AME (©DR)

C’est une nouveauté du salon du Bien-être de Tonneins: un concert.

Rendez-vous ce samedi 14 septembre à 20h30, Annick Cornaggia a invité le chanteur Alexandre Marceau pour un concert 100% Goldman.

Ce concert, en dehors des horaires du salon, se fera au profit de l’association AME (accueil maman enfant).

Entrée, 3€. Réservations: 06.70.57.75.74.

 

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